Troupes de Marine (TDM)
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Progression 6.0 (full guilde)

Chambre de l'éternité:


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16 NM : Clean
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16 HM : Clean

Palais de Karagga:

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Conflit explosif:

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16 HM : Clean

Cauchemar venu d'ailleurs:

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16 HM : Clean

Repaire d'infâmes malandrins:

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Forteresse d'effroi:

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8 HM : Clean
16 HM : Clean
8 Nim : 1/5

Palais d'effroi:

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16 NM : Clean
8 HM : Clean
16 HM : Clean

Ravageurs:

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8 HM : Clean
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Temple du Sacrifice:

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16 NM : Clean
8 HM : Clean
16 HM : Clean
Dieux nés des machines

8 NM : Clean
16 NM : Clean
8 HM : 1/5

Fureur dorée:

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8 HM : Clean
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16 HM : Clean

Xénoanalyse 2:

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16 HM : Clean

Cœur en ruines:

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Amblyope:

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La Reine des montagnes :

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Dxun:

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8 HM : 5/6
16 HM : 4/6
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Jaz'mi
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Un de mes livres en cours ( Prologue ) Empty Un de mes livres en cours ( Prologue )

Sam 22 Fév - 11:55
Prologue
Une rencontre fortuite.
Lors d’une de c’est fugue, ton arrière-grand-père est parti au marché du château, il voulait comme à son habitude, se faire passer pour quelqu’un du peuple. Il avait passé de vieux vêtements qu’il avait lui-même trouer pour les rendre plus réaliste. Lorsque les marchands sont venus livrer au château, il en a profité pour sortir sans que les gardes ne puisse le voir. Une fois arriver sur le marcher, il s’est baladé entre les échoppes, il a même assisté à un spectacle de marionnette organiser sur l’une des petites places. Alors que la nuit tombait tout doucement, il savait qu’il devait rentrer au château car son père, ton arrière-grand-père Mila, le roi Adrien, allait bientôt rentrer. Sur le chemin du retour, il a entendu des cris venant d’une des petites maisons qui appartenait à un noble du royaume. Il a pris la décision d’aller voir ce qui s’y passait, en s’approchant, plusieurs personnes se trouvait face à la maison se demandant ce qu’il pouvait bien se passer à l’intérieur. Ton grand père c’est approcher de la porte pour entendre mieux, il était aussi curieux que toi ma fille. Lorsqu’il était proche la porte s’ouvrit tout à coup, un jeune garçon recouvert d’un grand manteau noir trouer en est sorti en courant, il a foncé sur ton grand-père. Ils sont tous les deux tomber à la renverse, le noble qui habitait la maison en est sorti presque aussitôt un ballet a la main. Il a commencé à frapper ton grand père et le jeune garçon qui était sorti de chez lui, les gardes sont arrivés presque aussi vite, ils ont ordonné à l’homme d’arrêter de frapper les deux jeunes garçons. Les gardes ont demandé des explications, l’homme leurs a répondu que l’un des deux jeunes garçons l’avais volé et que le second était sans doute là pour le couvrir. L’un des gardes demanda aux jeunes garçons leurs version de l’histoire. Le jeune garçon avec le manteau noir répondit aussitôt qu’il avait volé un peu de nourriture pour sa maman qui était très malade. Ton grand père quant a lui a enlever sont capuchon et a dit qu’il ne faisait que passer par là. Les gardes l’ont reconnu aussitôt et se sont mis à genoux devant le prince, le noble et les personnes profitant du spectacle se sont également agenouiller devant ton grand père. L’homme avec le ballet n’arrêtait pas de s’excuser de l’avoir frappé, il le suppliait en lui embrassant les pieds de ne pas le faire pendre. Ton grand père s’amusa de la situation et lui répondit qu’il ne le ferait pas pendre à une seule condition, qu’il donne de la nourriture au jeune garçon au manteau noir pour sa maman, ce que le noble fit aussitôt, il lui donna plus que ce que le jeune garçon ne pouvait transporter avec lui. Comment t’appel tu ? Lui demanda ton grand père. Le jeune garçon se présenta, il habitait une petite maison en ruine en dehors des remparts du royaume, sa maman était très malade et son prénom était Amon. Ensuite ton grand père a été escorter par les gardes jusqu’au château, ton grand père c’est fait disputer comme jamais, son père, ton arrière grand père avait peur qui lui arrive quelques choses. Ton grand père lui parla de Amon et de sa maman, le roi décida alors à la demande du prince de faire venir Amon au château avec sa maman et de lui trouver un travail au château, ton grand père avait 12 ans à cette époque-là et Amon avait deux ans de plus que lui. Depuis ce jour-là, Amon et ton grand père ne se sont plus jamais quitter, Amon avait un petit travail au château, il aidait en cuisine, sa maman est morte quelques années plus tard. Quand ton arrière-grand-père est mort de vieillesse et que ton grand père est devenu roi, Amon est devenu son grand conseiller, son bras droit, ils étaient très amis tous les deux.
Un roi trop jeune pour régner.
Le jour de la mort de mon père, ton arrière grand père Mila, j’étais parti chasser avec des amis. Habituellement mon père venait avec nous ainsi que Amon, mais ce jours-là Amon lui a demandé de rester au château avec lui car il avait plusieurs choses à voir avec lui. L’été venait de commencer, nous étions avec une escorte royale, plusieurs cavaliers en armure, moi j’étais accompagner de plusieurs enfants de gens important de la cour. Nous sommes rentrés bredouille ce jour-là, quand je suis arrivé au château j’ai vu que les soldats qui gardait l’endroit étaient troubler. Quand je suis entré dans le hall du château, ma mère m’as demandé de la suivre, elle m’a dit que quelque chose était arrivé à mon père le roi, que je devais absolument le voir. Il était dans sa chambre royale, les fenêtre du château avait été couverte par de grand draps, mon père était coucher dans son lit, il était en sueur, il était très blanc. Ma mère m’a alors expliqué que mon père c’était senti mal après le déjeuner qu’il avait pris avec le grand conseiller, il avait eu de grande douleur en ventre et ne tenait plus debout. Il a donc été installer dans sa chambre et les soigneurs sont venu prendre soin de lui, mais aucun d’eux n’as pas être utile, l’état de mon père empirait d’heure en heure. Il était devenu vaseux, transpirait sans arrêt, il avait chaud et froid, les soigneurs ne savaient plus quoi faire pour soulager mon père qui se tordait de douleur dans son lit. Ma mère m’a demandé de lui parler quelque instant, sa pourrais l’aider à se sentir un peu mieux, elle m’a ensuite dit que vu l’état de mon père, seul un miracle pouvait le guérir et que mon père vivait sans doute c’est dernière heure. Ma mère semblait triste, moi je restais stoïque, je ne savais pas comment réagir, je ne comprenais pas comment c’était possible, mon père allait très bien ce matin lorsque je l’avais quitté. Je me suis approché du lit de mon père, ma mère a fait sortir les soigneurs, c’est amis proche, les gardes et le grand conseiller, elle est également sortie. Je me suis assis sur le bord de son lit, mon père à tourner son visage vers moi et a dit difficilement mon prénom.
–Papa, que t’arrive-t-il ? Toi un homme si grand, si fort.
–Mon fils, mon heure est venue, c’est à toi que revient la place sur le trône. Me dit-il difficilement.
–Père, je suis bien trop jeune, nous allons vous soigner père, demain vous irez mieux.
–Mon fils, tu le sais tout comme moi, c’est terminé pour moi.
–Non père, on ne peut dépérir aussi vite sans raison.
–La raison dit-il en toussant, ce n’est pas naturel mon fils, je suis sûr que quelqu’un a voulu m’écarter du trône, mais je ne sais pas qui. Fais très attention à toi lorsque tu seras roi, ne fais confiance a personne mon fils, ne fais pas la même erreur que moi.
Lorsqu’il a fini sa phrase ces yeux se sont fermer, il a lâcher ma main, il a toussé une dernière fois avant de mourir. Mon père était mort, quelqu’un me l’avait pris, mon père en était sûr, je me suis promis d’essayer de trouver le coupable mais je n’ai jamais pu. Certains ont dit que c’était sans doute l’un des douze royaumes, un meurtre commandité par l’un des rois, mais nous n’avions aucune preuve et nous ne pouvions accuser personne. Ton grand père était très jeune quand il est mort ma petite Mila, il avait 34 ans.
Les jours suivant ont été très difficile pour ma mère et moi, nous n’arrivions pas à soigner notre chagrin, le grand conseiller a pris la place du roi comme il est prévu dans nos loi jusqu’au moment où nous allions nommer un nouveau roi.
L’enterrement de mon père était le plus beau des enterrements que j’avais pu voir, des milliers de personnes sont venue de partout dans notre royaume ainsi que des douze royaumes. Tous les rois étaient présents, sans exception. Mon père a été emmener dans un char tirer par six chevaux blancs, le char était magnifique, il était nappé de feuilles d’or et était remplis de fleurs de Magnolia, qui est comme tu le sais ma fille l’emblème de notre famille depuis toujours. Le peuple était également dans les rues pour offrir un dernier hommage a leur roi tant aimer, ton grand père était adoré du peuple, il a toujours fait son possible pour lui offrir le meilleur. Après le cortège, ton grand père a été emmener au temple du repos qui se trouve sur la haute colline, le cercueil a été porter par la garde d’élite personnel du roi, les plus grand et fort guerriers de notre histoire.
Une fois à l’intérieur, le cercueil de ton grand père a été placer dans son tombeau et de l’or a été déposer a c’est pied et des Magnolia sur son cœur, le tombeau a alors été fermer a jamais et de l’or a été couler tout autour du couvercle pour le sertir.
Les jours suivant ont aussi été très difficile, comme nos lois nous le dicte, neufs jours plus tard, nous devions avoir un nouveau roi, c’est-à-dire moi, son fils. Mais j’étais encore très jeune, j’avais à peine 15 ans, je ne pouvais pas prendre la place du roi. Dans c’est cas-là, c’est le grand conseiller qui seras nommer jusqu’à m’es 18 ans, nous connaissions tous le verdict mais je devais participer à la nomination. Seul le futur roi, le grand conseiller, le commandant des armée, le grand cardinal, la reine, le trésorier du royaume et le consul. Sept personnes pour sept votes.
Nous étions réunis dans une grande salle ronde du château, les portes était fermée à clé, des gardes étaient placer dehors pour garder la salle, nous ne pouvions sortir qu’une fois la décision prise. Nous nous sommes installés, Amon à présider la séance et exposant la situation, nous n’avions plus cas voter chacun notre tour et la majorité l’emporteras.
–Très bien, passons au vote dés a présente ordonna Amon. Je vais commencer par mon vote, je vote pour moi-même, je pense que le prince n’est pas encore assez mature que pour prendre place sur le trône. Mon prince, que voter vous ?
En réalité je n’avais pas beaucoup de choix, je ne pouvais voter que pour lui, il le savait.
–Je vote pour le grand conseiller Amon.
–Parfait, ma reine ? Pour qui voter vous ?
–Je vote pour le prince Alan.
–Pardon ? Mais il est bien trop jeune voyons dit Amon d’un ton énerver.
–Vous parlez à votre reine Amon, ne l’oubliez pas, ce n’est pas parce que mon mari est mort que j’ai perdu mon titre.
–Oui, pardon ma reine, excusez-moi, continuons, pour qui voter vous trésorier ?
–Je suis désoler mon prince, mais vous êtes bien trop jeune pour régner, dès votre majorité vous reprendrez votre trône mon prince. Je vote pour Amon.
–Certes mon prince, je ne fais que prendre votre place jusqu’à votre majorité, je suis sûr que votre père en aurait voulu ainsi, nous étions très amis comme vous le savez.
–Vous parlez comme si vous étiez déjà en place Amon, les votes ne sont pas terminés, moi je vote pour le prince, malgré son jeune âge, il sera guidé par la reine et soutenu par son peuple.
–Je prend note de votre vote commandant, monsieur le consul, à vous.
–Je pense que la place du roi revient au prince malgré son jeune âge, je sais qu’il aura les épaules pour régner sur notre royaume.
–D’accord, enfin oui, j’ai du mal à croire qu’a son âge il puisse exercer cette tache mais votre vote compte comme tous les autres. Il ne reste que vous monsieur le grand cardinal, voter la sagesse, je n’ai nul doute qu’il en sera fait différemment de votre part.
–En effet mon très cher Amon, mon vote seras fait avec sagesse et il sera en faveur de notre prince ou devrais-je dire notre roi, car mon vote clos cette réunion me semble-t-il.
–Mais… je…
–Les votes sont clos Amon, vous serez toujours le grand conseiller du roi, ne vous en fait pas, à moins que notre nouveau roi décide de changer de conseiller. Répondit le commandant d’armée.
–Mon roi, si je peux ajouter quelque chose continua le grand cardinal, je sais que vous êtes très jeune pour cette fonction, mais tout comme les autres, je n’ai nul doute de votre capacité à régner. Vous serez un bon roi pour nous tous et nul besoin d’attendre vos 18 ans pour offrir ce cadeau à notre peuple, vous avez la maturité pour.
–Je vous remercie grand cardinal.
Je n’aurais jamais pensé prendre place sur le trône aussi vite, je ne le voulais pas mais tous croyaient en moi, je ne pouvais pas les décevoir, surtout pas ma mère. J’ai donc décider de fièrement accepter. Mon couronnement c’est fait en compagnie des hommes les plus importants de notre royaume, j’étais habiller d’un grand manteau bleu avec des broderie de Magnolia en or, certains nobles de notre royaume étaient également présents. C’est le commandant d’armée qui à commencer la cérémonie de couronnement, avant d’être couronner je devais être fais chevalier, ce qui fut fait. Ensuite ma mère la reine m’as couronné, comme à notre coutume, le royaume a été en fête durant 3 jours, de la nourriture a été distribuer au peuple.
Régner n’était pas simple et encore moins à mon âge, j’étais le premier roi à être couronner aussi jeune. Heureusement j’avais ma mère a m’es coté pour m’aider ainsi que des conseillers, Amon quant à lui était toujours le grand conseiller du roi, mais il me semblait un peu plus distant, il semblait déçu de ne pas avoir pris place sur le trône jusqu’au mes 18 ans. Les deux premières années tout c’est bien passer pour moi, le royaume était fleurissant.
Une guerre pour un nouveau chef de guerre.
Après mes deux premières années de règne, au soir d’hiver, les choses ont changé. L’un des messagers est arriver au château alors que nous venions de souper.
–Mon roi, désoler de vous déranger, nous avons un messager qui vient d’arriver avec de très mauvaises nouvelles.
–De quel genre Amon ?
–Nous devrions en parler en priver et écouter ce que l’éclaireur as à nous dire.
–Très bien, je vais le recevoir dans le salon, mère, ma chère épouse, je suis désolé mais le devoir m’appel
Je venais d’épouser Nazélie ta maman, c’était magique depuis notre rencontre, elle me rendait heureux, tout comme aujourd’hui d’ailleurs. J’ai donc rejoint Amon et l’éclaireur dans le salon, un feu avait été allumer pour nous.
–Mon roi, c’est très important, nous devons agir au plus vite me dit-il en se mettant a genou.
–Calmez-vous, prenez votre temps et expliquez-moi ce qu’il se passe.
–Du temps nous n’en avons pas mon roi, je suis l’éclaireur de l’avant-poste nord, nous avons vu c’est derniers jours des mouvements de troupes anormaux. Au début nous pensions à une armée d’un de nos allier qui partait en campagne mais après vérification nous avons compris que c’était autre chose.
–Un de nos ennemis à décider de marcher contre nous ?
–Pire, le pire de vos ennemis, on ne parle pas de barbare venant du nord ou de ces marins assoiffés de sang, nous parlons plutôt d’eux.
–Eux ?
–Oui mon roi.
–Non, ce n’est pas possible, ça ne se peut pas, mon grand-père les a repoussés il y a quelques dizaines d’année d’ici, ils ne peuvent pas déjà être de retour.
–Je vous assure que nous en sommes certain mon roi, ils seront sur l’avant-poste nord d’ici quelques jours, nos éclaireurs ont fait au plus vite.
–Mon roi ? Continua Amon, nous avons constaté que les attaques venant d’eux sont de plus en plus proche l’une de l’autre. Nous ne pouvons pas nier leur présence dans nos terres, nous devons agir au plus vite pour le bien du royaume et de notre peuple.
–Faite convoquer les douze au plus vite au château du roi Barbentier, il est le plus proche pour rassembler les douze au plus vite.
–J’envoie des messagers tout de suite mon roi.
–Quant à vous jeune homme, aller à la cuisine et manger autant que vous en aurez besoin et buvez, vous l’avez bien mérité.
–Je vous en suis reconnaissant mon roi.
La nuit même douze messager sont parti en direction de chacun des châteaux des treize. Tous les rois ont été prévenu et devrons donc se rejoindre au château de Brief ou le roi Barbentier trône. J’ai pris la route dès le lendemain matin, j’en avais pour environ une journée et demi de marches avant d’arriver à Brief, j’ai décidé de partir en petit comité, j’ai donc pris deux cavaliers avec moi et nous avons traversé le royaume à vive allure. Lorsque nous sommes arrivés au château de Brief, quatre autres rois y étaient déjà présents en plus de Barbentier. Nous avons été accueillis gracieusement, nous avons festoyer le soir même, le lendemain d’autres rois sont arriver, il n’en manquait plus que trois. Aucun d’eux ne savaient pourquoi je les avais convoqués, certain essayèrent de me faire cracher le morceau mais je voulais absolument que tous soient présent lorsque j’allais leurs annoncer. Le lendemain les derniers rois sont arriver au château, une fois remis du voyage nous avons commencé notre réunion dans une salle fermée à double tour, seuls les rois étaient présents.
–Bonsoir a tous mes frères, nous avons réunis les treize pour une bonne raison comme vous vous en doutez, la situation est grave.
–Que se passe-t-il ? Demanda Argos, l’un des plus vieux rois du royaume, il trônait au château de Zenovich. Je suis désolé de vous pressez mais je suis inquiet, la dernière fois que ce genre de rassemblement a eu lieu, c’était pour leurs arrivée.
–Argos, comme toujours je ne peux rien vous cacher. Ils sont en effet de retour.
–Eux ? Ils sont de retour ? Foutaise cria Zénégos qui trône au château d’Armarenos.
–L’un de mes éclaireurs dans le fort du nord les a vu, ils ont commencé à se déployer dans les montagnes de Tarnagos.
–Sur les terres de l’un de nos ennemis ? ce ne sont peux eux, mais plutôt c’est barbare qui nous font une farce. Répondit le roi Barbentier.
–Eh bien alors la farce est poussée, eux ont rasez Harbor et ils ont tué femme et enfants, les hommes ont été converti pour les plus résistant d’entre eux.
–Nul doute qu’ils n’auraient pas été aussi loin répondit Hurlul, le roi de Ténévilr. Peut-être une autre tribu barbare ? Une tribu que nous ne connaissons peut-être pas.
–Je suis désoler mes amis, j’aurais voulu que ce soit une autre tribu, mais m’es éclaireurs sont certain de leurs dire, ce sont eux. Les camps qu’ils forment sont identique à ceux décris par les anciens, leurs armures sont pareil, ils convertissent les hommes assez forts que pour se battre contre d’autre hommes.
–Cessons de tergiverser répondit Marovin le roi de Zockel. S’ils sont comme vous le dite dans les montagnes de Tarnagos, Aarnacaolie est la première de nos villes sur leur passage, il fait partie de votre royaume Alan, nous devons envoyer des renforts à leur armée au plus vite, nous ne pouvons laisser aucune chance à ces monstres.
–J’ai déjà envoyer une grosse troupe composée de 1200 chevalier et 300 cavaliers, 2000 autres chevaliers les rejoindrons d’ici 3 jours et 500 cavaliers. J’ai également renforcé les autres villes de mon royaume, vous devriez faire de même.
–Leurs armée est composée de combien de troupe ? Vous en avez une idée ? Demanda Hurlul.
–Ils ont actuellement environ 7000 hommes plus environ 300 convertis mais ils continuent leurs attaques sur les villes barbare. Leurs forces vont augmenter de jours en jours.
–Très bien Alan, je vais envoyer 500 cavaliers dés demains, 3000 chevaliers se joindrons à eux également. Répondit Hurlul.
–Nous vous enverrons tous des troupes si je peux me permettre, un maximum, nous savons que c’est soldats sont très difficile à tuer, nous devons agir en conséquence.
Les discutions ont continuer durant une bonne partie de la nuit, tous m’enverraient des troupes, nous allions avoir une force supérieure à celle de nos ennemis. En tous nous aurions 24 000 chevaliers à notre disposition et 7000 mille cavaliers, j’allais également me joindre au combat accompagner de Zénégos et Armarusse le roi de Ténéron, un très grand guerrier et respecter sur le champ de bataille. Les autres rois allaient quant à eux protéger le reste des villes du royaume et prendre position en cas d’attaque des barbares qui profiteraient de l’occasion pour attaquer le royaume des treize d’une autre direction. Tous avaient garder assez de troupes pour les repousser durant plusieurs jours. C’est soir-là que la troisième grande guerre à commencer.
J’ai repris la route accompagner de Zénégos et Armarusse pour aller à Aarnacaolie, nous étions cette fois accompagner d’une escorte royale, plus de 60 cavaliers en armure légère pour que nous puissions arriver au plus vite. Certaines de nos troupes étaient déjà sur place, d’autre étaient en chemin, les soldats sur place commencèrent à construire des fortifications de fortune pour retenir l’ennemi. Quand nous sommes enfin arrivés à Aarnacaolie l’attaque ennemie était prévue pour le lendemain, la moitié des troupes étaient présente, un tiers du reste de nos troupes arriveraient durant la nuit et les deux tiers restant le lendemain après-midi.
Aarnacaolie était une petite ville qui avait été fondée il y a, à peine vingt ans, elle était encore en pleins développement, les murailles pour la protéger n’étaient même pas toute construite. Tout autour de la ville plusieurs milliers de tentes avait été montée, des murailles sommaires en bois avaient été ériger, nos soldats avaient bien travailler mais je savais que ça ne suffirait pas à arrêter une armée de c’est choses. Le Baron de la ville était heureux de nous voir, il n’a pas arrêté de nous remercier en priant que nous arrivions à repousser c’est créatures de l’enfer.
La nuit de note arrivée nous avons été réveiller, une alerte avait été lancée, l’un de nos éclaireurs avait vu un mouvement de troupe important, environ 500 hommes étaient en chemin vers Aarnacaolie, ce n’était pas les hommes en armure d’acier noir mais des convertis, nous avons agis aussitôt.
Nous avons préparé une embuscade non loin de la ville avec 700 chevaliers, selon notre éclaireur, les convertis devaient passer par la vallée. Une fois en position nous avons patienter durant plus de deux heures jusqu’au moment où l’ennemi est apparu.
Mon commandant d’armée a pris le commandement de l’embuscade, moi j’allais pour la première fois vivre une vraie bataille. J’avais bien entendu été entrainer à me battre mais je n’avais jamais eu l’occasion de tuer un homme, de plus nos ennemis étaient bien plus puissants que de simple homme. Le commandant m’a demandé de rester en arrière et de ne pas me battre mais je ne pouvais rester en retrait, nos hommes allaient mourir pour le royaume, je devais me battre à leur côté.
L’ennemi est entré au milieu de la vallée, l’endroit où nous avions décidé d’attaquer, c’était la pleine lune, nous pouvions apercevoir chacun des soldats ennemis. Ils étaient tous habiller d’une simple peau de bête comme pantalon et avaient des marques ensanglantées partout sur le corps, ils avaient tous été raser.
Le commandant donna l’ordre aux archers de tirer une salve de flèche au milieu de la troupe ennemie, j’étais entendu plus de 200 flèches passer au-dessus de ma tête, leurs bruits étaient comme une symphonie dans ma tête. Quand elles arrivèrent à leur but, une centaine d’hommes tombèrent sous des cris de douleur atroce, nous étions a plus de cent mètre d’eux mais les cris semblaient être à côté de moi. Le commandant donna ensuite l’ordre de charger des deux coté le bataillon ennemi, ils étaient confus et n’avais pas eu le temps de se reformer quand nos hommes sont arrivés au contact. J’ai chargé accompagner de mes gardes du cops, je suis arrivé devant un ennemi armé d’une épée a peine aiguisée. Avant qu’il ne puisse agir je lui ai enfoncer mon épée dans le torse, un craquement c’est fait ressentir, l’homme m’as regardé, sont regard semblait vide. J’ai ensuite retiré mon épée de son torse, l’homme est tomber au sol comme une feuille tombée d’un arbre. Je venais de tuer un homme, ce qui faisait de moi un homme à mon tour, je n’avais que 17 ans, je n’avais pas à vivre tout sa mais je n’avais pas le choix, je le faisais pour le royaume.
Au bout de plusieurs dizaines de minutes j’avais tué plusieurs hommes, les derniers de nos ennemis était exécuter par nos soldats. J’ai remarqué un homme qui n’était pas habiller comme les hommes que nous avions tués, lui portait une grande armure noire, comme celle décrite dans nos archives, c’était l’un d’eux !
–Attrapez le fuyard ! Criais-je dans sa direction. Je le veux vivant !
Nos hommes commencèrent à courir dans sa direction et disparaissaient dans les fourrer, le commandant le poursuivi également. Ils revinrent tous ensemble au bout de quelques minutes, le guerrier noir avait été capturer, il saignait à la jambe, son armure avait été percée, il était attaché par de grosse chaine en fer.
–Ramener le au campement, je veux l’interroger, il a surement beaucoup de choses à nous apprendre.
Nous avions perdu beaucoup d’hommes cette nuit-là et nous avons eu énormément de blessé mais la victoire était notre. Nous nous étions battus contre des converti et non leurs hommes en armure lourde, ils ne ressentaient pas la peur ni la douleur, ils pouvaient continuer à se battre, même avec le bras couper. Une fois rentrer au camp, nos hommes se sont soignés, j’ai ensuite fait venir le prisonnier devant ma tante pour l’interroger devant nos troupes pour leurs redonner le moral.
–Alors créature, que faite vous ici, pourquoi nous attaquer vous ?
Il était à genou devant moi, toujours enchainé par de grosse chaine d’acier. Son armure semblait lourde et épaisse, elle était noire, ce n’était pas de l’acier comme nous, il semblait beaucoup plus résistant que le nôtre. Il portait un gros casque en acier noir, trois grosse pic pointait vers le ciel.
Il rigola avant de prendre la parole.
-Azrag talanare oustopra.
Il parlait une langue qui m’était inconnue.
–Je sais que tu parles notre langue monstre, répond à ma question.
–Tu crois vraiment que je vais te dire quoi que ce soit vermine ?
Il avait une voix grave, il ne semblait pas avoir peur de se qui allais pouvoir lui arriver.
–Parle et peut-être que je te rendrais ta liberté.
Il rigola à nouveau.
–Tue moi humain, j’ai vécu 1000 vies d’humain, je suis prêt à mourir pour mon maitre.
–Ton maitre ? Tu es donc un esclave ?
–Les esclaves se sont les cafards que nous avons sacrifiés ce soir pour vous distraire. Les esclaves nous les prenons directement dans vos villes dit-il en rigolant plus fort encore que les fois précédentes.
–Je ne sais pas comment vous arrivez à corrompre c’est hommes, mais une chose est sûre, vous ne passerez pas nos frontière, vos armées vont s’écraser contre les armées du royaume.
–Vous ne comprenez rien pauvre fou, vous n’êtes que des pions dans notre plan pour la domination du monde.
–Vous avez déjà échouer à deux reprises, croyez-le, vous échouerez à nouveau.
–Qui vous dis que nous avons échouer lors de nos précédentes guerres contre vous ? Vous avez subi bien plus de perte que nous.
Je me suis approché de lui et je lui ai enlever son casque, il était très lourd, je l’ai lancé devant lui. Sa tête était très blanche, il a eu une grimace lorsqu’il a vu la lumière de la lune, il avait de grandes dents pointues et des yeux rouge, il était également chauve.
–Oui, mais nous avons réussis à vous repousser lui dis-je a son oreille.
–Vous ne comprenez donc rien humain, vous n’avez repousser personne, vous êtes pour nous une ressource très importante, notre survie dépend de la vôtre. Jamais vous n’arriverez à nous vaincre, mon maitre est bien trop puissant, jamais vous ne pourrez l’atteindre. Notre armée est bien plus vaste que celle que nous vous avons mis sous les yeux, croyez-moi, demain quand le jour arrivera, le ciel seras rouge, rouge du sang des humains, beaucoup mourront cette nuit, le plan du maitre à marcher comme il l’avait prévu, vous vous êtes précipité sur cette ville sans importance en laissant vos capitales sans surveillance dit-il en rigolant.
C’est à ce moment-là que j’ai compris, compris que l’armée que nos éclaireurs avaient vu n’était en fait qu’un leurre, une armée bien plus vaste allaient attaquer nos capitales pour convertir les habitants, nous devions agir vite.
–Tu en as assez dis, meurt cloporte !
J’ai sorti mon épée de son fourreau et j’ai coupé la tête de l’homme devant moi d’un seul coup. Sa peau à commencer à noircir et se disloquer en plusieurs morceau, après quelques instants il ne restait que sa lourde armure et quelques grammes de poussière. Tous ont été étonner de voir cela, jamais une telle chose n’avait été rapportée dans nos archives.
J’ai ensuite donner l’ordre à nos armées de reprendre la route immédiatement vers nos capitales les plus proche, les plus lointaine allait être renforcée par les rois rester en faction dans le sud. Nous avons chacun pris une partie de l’armée avec Zénégos et Armarusse, nous avons chacun pris la direction d’une capitale.
Quand je suis entré avec nos hommes sur les terre de Norskowl j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas, un brouillard épais c’était former autour de nous. Nous sommes passés par Neuval, une grande ville qui menait à la capitale où se trouvait le château de Norskowl, c’était le plus petit pays de notre royaume.
La ville semblait calme, quand nous nous sommes approchés nous n’avons vu aucun garde sur les murs, les portes étaient grandes ouverte. Il y avait une odeur âcre dans l’air et une odeur de bruler, quand nous avons passé les grandes portes de la ville nous avons eu droit à un spectacle monstrueux. Des tas de cadavres étaient entasser dans les coins, le sol était rempli de sang, j’avais l’impression que le sol saignait, c’était comme si une marée de sang était passée par là. Des femmes et des enfants étaient pendu au mur des maison, ils avaient été vider de leur sang, nous avons traversé la ville sur nos gardes. Nous avons croisé aucune personne vivante ni aucun ennemi. Lorsque nous sommes arrivés à l’autre bout de la ville, les grandes portes étaient également ouvertes, les ennemis avaient traversé la ville sans aucune résistance, je ne comprenais pas comment cela pouvait être possible. Nous avons laissé quelques hommes dans la ville en espérant trouver des survivant, le reste de nos troupes ont continuer leur route vers Norskowl.
Le lendemain en début d’après-midi nous sommes arrivés devant Norskowl, des combats avaient eu lieu dans cet endroit, les murs avaient été détruit à l’aide de béliers et des catapultes. C’est engins de siège étaient les notre, ils les avaient sans doute pris à Neuval et les avaient utilisés contre nos propres hommes. Ils avaient sans doute comme à leurs habitude converti les hommes de Neuval pour se battre contre leurs propres frères car nous n’avions pas vu de corps de soldat ni d’homme en ville.
Plusieurs bâtiments étaient en feu, de la fumée s’élevait très haut dans le ciel, j’ai donné l’ordre à nos hommes de se mettre en formation de combat pour prendre la ville. Quand nous sommes entrés en ville tout semblait calme, nous avons avancé par section, toujours en formation de combat. Quand nous sommes arrivés aux portes du châteaux, nous avons soudain entendu du bruit venant des maisons autour de nous, j’ai espéré un instant voir des survivant sortir de c’est maisons. Je me suis vite rendu à l’évidence, ce n’étaient pas des survivants, c’était des convertis, nos propres hommes allaient se battre contre nous, nous n’avons pas eu le choix de répondre à l’attaque par une contre charge. Ils étaient des centaines autour de nous, ils sortaient de partout, nos hommes étaient débordés de tout côté, les sections tombaient les unes après les autres, j’entendais les cris de douleur de nos soldats ainsi que de ceux qui étaient devenu nos ennemis.
Nous nous sommes battus durant plusieurs heures, je ne savais pas combien de nos hommes étaient encore debout, nous étions plus de 7000 quand nous sommes entrés à Norskowl, nous ne devions plus être qu’une poignée à présent. Des marées d’ennemis déferlaient sur nous, je n’y voyais pas le bout, plus d’une centaine d’hommes étaient tomber sous mon épée, j’étais fatiguer, je n’en pouvais plus mais je devais rester debout pour mes hommes et me battre jusqu’à la mort pour mon peuple.
Soudain nous avons entendu un corps de bataille au loin, ce n’était pas un corps de bataille de notre royaume, c’était un corps de bataille qu’utilisaient les barbares. Nous avions assez d’un ennemi pour qu’un second ne fasse son apparition.
Tout à coup, les vagues d’ennemis commencèrent à diminuer, ils semblaient fuir vers la sortie de la ville, nous en avons profiter pour tuer les fuyards avec les dernières forces qui nous restaient. Quand nous sommes arrivés au centre de Norskowl, les convertis avaient été exterminer, mais pas de notre main mais de celle des barbares, ils étaient au moins deux milles devant nous. L’un d’eux c’est approcher de nous.
–Qui est votre chef hurla-t-il, s’il est encore en vie je veux lui parler.
Je me suis avancé devant nos hommes, j’ai regardé derrière moi, nous n’étions plus qu’une poignée, environ 400 hommes donc la moitié étaient blesser, nous étions tous fatiguer de c’est combat et le moral de nos hommes avait chuter suite à nos pertes. Le commandant était blessé au bras mais était toujours debout à m’es coté.
–Je suis le roi Alan, ce n’est pas honorable de profiter de notre faiblesse pour nous attaquer.
–Vous attaquer ? Nous vous avons sauvez de c’est converti, nous ne vous voulons aucun mal, nous voulons vous aider.
–Des barbares qui voudraient nous aider ?
–Je sais que nous sommes ennemis, mais nous devons faire face à un ennemi bien plus puissant que nous tous réunis, je m’appelle Brockar, je suis le chef de la tribu des Hiarednée. Je suis ici en ami, nous sommes arrivés dès que possible pour vous aider mais vous avez subit beaucoup de pertes, j’en suis désoler mais le combat n’est pas terminé, nous avons à faire encore.
–Que voulez-vous dire par nous avons encore à faire ?
–Il nous reste une bataille à livrer, celle qui pourras libérer notre monde définitivement de ces monstres.
–Comment cela est-il possible ?
–Suivez nous, nous allons vous soignez, je vous expliquerais tout en chemin.
Comme promis nous avons été soigner, nous avons ensuite manger et bu, le soir venu nous avons pris la route vers le sud.
–Roi Alan, je vais vous expliquer comment libérer notre monde de cette vermine. Me dit Brockar. Nous avons des chamanes, ils peuvent lire dans l’avenir, les armées sont dirigée par un seul chef, un maitre, si le maitre meurt, l’armée est défaite et ces hommes périront tous.
–Comment savoir qui tuer ?
–L’armée qui à attaquer vos capitales, nous les avons suivis, nos hommes sont toujours derrière eux, c’est vers eux que nous allons, leur maitre est avec eux. Nous devrons le tuer, vous devez faire appel à vos hommes pour nous aider, nous ne serons pas assez pour mener à bien cette bataille.
–Ou vont-ils ?
–Ils marchent vers Ténéron, ils ne pensaient pas que vous survivriez assez longtemps que pour mener une contre-attaque. Sans vous l’espèce humaine n’as aucune chance, vous devez donner l’ordre d’envoyer toute vos troupes disponibles dans les plaines des Azalon, c’est là qu’auras lieu a bataille finale pour libérer notre monde.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai décidé de faire confiance à Brockar, il aurait pu nous exterminer avec c’est hommes s’ils l’avaient voulu et nous aurions un ennemi commun bien plus puissant que nous. J’ai fait envoyer des messagers pour qu’un maximum de troupe nous rejoigne dans la vallée des Azalon. Trois jours plus tard nous sommes arrivés sur les lieux, l’armée de Brockar était immense, plus de 30 000 hommes armés de hache, je n’avais jamais vu autant de barbares de ma vie. L’armée que nous chassions était comme prévu dans la vallée des Azalon, ils étaient bien plus nombreux que nous, au moins 120 000 hommes, la moitié étaient des guerriers en armure noir, l’autre moitié étaient des convertis, il y avait également de grandes créatures avec eux, je n’arrivais pas à distinguer ce qu’elles pouvaient être d’aussi loin. Nous n’avions aucune chance de les battre avec si peu d’homme, nous n’avions plus cas espérer que les messagers que j’avais envoyé avaient fait leur travail et que des troupes allaient être envoyée en renfort.
–Il nous suffit de tuer le maitre me dit Brockar, les autres partiront d’eux même une fois le maitre tuer.
–Ou est-il ? Demandais-je.
–Roi Alan, là-bas, tu vois la grande créature avec le long coup ?
–Oui, c’est lui ?
–Non mais c’est sa créature personnelle, il n’est jamais loin d’elle, une fois tout prêt nous n’aurons aucune difficulté de le repérer dans le reste de son armée, il a une armure différente, quand vous le verrez, vous saurez que c’est lui. Il est l’heure d’entrer dans la bataille finale et de vaincre ou mourir pour Amarta.
Amarta était le dieu des barbares, c’est mon père qui me l’avait dit.
Les cors de guerre commencèrent à résonner autour de nous.
–Nous ne devrions pas attendre m’es armées ? Demandais-je inquiet.
–Nous n’avons pas le temps, ils se joindront à la bataille par la suite, du moins je l’espère, chargeons soldat.
Les hommes de Brockar ont commencé à charger l’armée ennemie, ils avaient pris une position défensive, les hommes de Brockar déferlaient comme une vague sans fin sur l’ennemi, très vite leurs premières lignes ont été brisée. Ils ont toutefois stoppé la charge dans leur seconde ligne, les barbares se faisaient massacrer les uns après les autres, j’ai ordonné la charge avec le peu d’homme qui me restait, nous étions environ 250, le commandant d’armée était toujours avec moi et me demanda de rester hors du combat, ce que j’ai refusé, je devais donner ma vie pour le royaume tout autant que nos soldats.
L’ennemi commença à nous entourer petit à petit, nous étions beaucoup moins nombreux qu’eux, j’apercevais les grandes créatures au loin mais nous étions encore loin d’elles. Au bout d’une dizaine de minutes de combat j’ai entendu la cavalerie charger, notre cavalerie, quand j’ai levé les yeux, j’ai aperçu une marée de chevaux briser le flanc de l’armée de nos ennemis, ils étaient plus de 10 000. Derrière eux une ligne de plus de 5 000 archer commencèrent à tirer sur l’arrière de l’armée ennemie tandis que 20 000 chevaliers commencèrent à charger le second flanc de l’armée ennemie. Nous avions une chance d’approcher de leur maitre, il semblait inquiet, les grandes créatures ont été envoyée au combat contre notre cavalerie, je ne sais pas ce qu’étaient c’est monstre mais ils étaient énormes. D’un coup de patte, ils envoyaient valser une dizaine de nos cavaliers, certains de nos hommes étaient effrayer face à c’est monstre et je les comprenais. Ces monstres ne venaient pas de notre monde, la grande créature au long coup c’est approcher de nos chevaliers, j’ai aperçu sur son dos un homme plus grand que les autres avec de très longs cheveux blancs, son visage était tout aussi blanc que sa chevelure. J’en était sûr, c’était lui le maitre, celui que nous devions tuer. Avec un petit groupe de soldat j’ai décidé contourner l’armée ennemie pour arriver sur le flanc de nos chevaliers. Ils étaient heureux de voir leur roi, leur moral est remonté en flèche et j’ai ordonner d’avancer coute que coute jusqu’à la grande créature au long coup. L’homme sur son dos portait un énorme bouclier, il faisait la moitié de sa taille, il avait à la ceinture un grand fourreau contenant une très longue épée.
Sa créature décimait nos troupes, d’un coup de mâchoire, elle prenait la vie de cinq de nos hommes. J’ai ordonné un tir grouper de nos archers sur l’énorme créature, plus de milles flèches se sont écrasée sur la créature, elle n’a même pas bronché, les flèche se plantaient dans sa peau sans aucune réaction de la part de la créature. J’ai ordonné un second tir grouper mais avec des flèches enflammée cette fois, la créature a alors hurler, elle s’est soulevée dans le ciel elle a poussé un cri strident, l’homme en armure sur son dos à sauter de la créature pour atterrir au milieu de nos chevalier. La créature est partie en volant, l’homme qui semblait être leur maitre a alors sorti sa grande épée de son fourreau, la lame était rougeâtre et brillaient dans la nuit. Il donna plusieurs coups qui tua plusieurs de nos chevaliers, j’ai décidé de foncer vers lui pour le tuer. Quand je suis arrivé à sa hauteur j’ai aperçu sur sa tête une couronne d’acier noir ornée de rubis rouge comme le sang, je lui ai envoyer un coup d’épée, d’un coup de bouclier il stoppa mon attaque et me propulsa en arrière. J’ai ordonné une salve de flèche, il a mis son bouclier devant lui, plus d’une centaine de flèches se sont écrasée contre son bouclier et son armure d’acier noir sans jamais la percer, lorsqu’il a soulevé sont bouclier pour se relever j’ai couru vers lui. J’ai pris appuie sur un tas de cadavre et j’ai sauté mon épée en avant dans la direction du maitre des créatures, elle s’est enfoncée dans son coup, j’ai vu son regard changer, il me propulsa à nouveau en arrière d’un coup de bouclier. Il lâcha sont épée et a mis sa main sur son coup, le sang commença à couler.
Il lança un cri que je ne pourrais décrire, ensuite un lourd brouillard gris se leva sur le champ de bataille, ensuite des milliers de petite créature volante passèrent tout autour de nous, quelques secondes après, le brouillard s’estompa.
Le champ de bataille était vide, plus aucun ennemi était présent hormis ceux que nous avions tué, des armures d’aciers noir était disséminée un peu partout sur le champ de bataille. Nous avions vaincu le maitre, nous étions victorieux, nous avions sauvé le monde des hommes, la troisième grande guerre fut brève mais meurtrière, nous avion débarrasser a jamais ce monde de ces monstres.
Norskowl et c’est ville ne se sont jamais réellement remise de c’est attaques, mais tout a été fait pour qu’elle soit reconstruite, elles sont toutefois considérées comme maudite par beaucoup. Les barbares sont retournés sur leur terre et nous n’avons plus jamais eu de contact avec eux depuis lors, quand nous racontons la bataille avec les créatures géante, personne ne nous croit, mais crois-moi ma fille, elle était bien réelle, n’en doute pas Mila.
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Ven 28 Fév - 19:48
je n'aime pas spécialement lire sur le pc surtout sur un forum, mais osef puisque tu me la envoyé en doc Smile promis je lirais ca
De toutes facon que l on aime ou pas le recit proposé , toi au moins tu l'a fait donc chapeau !
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Ven 28 Fév - 20:34
merci pasde maisnouchet, c'est certain faut aimer le médiéval +/- fantastique, qu ite dis que c'est moi je l'ai peut-être voler à uen vieille dans la rue...( zut j'ai avoué )

* son de pas qui fuient *

après si d'autres veulent le pdf pour pas lire sur le fofo, go me mp discord.
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Sam 29 Fév - 15:17
Saloute, et voilà la suite poru ceux qui veulent, j'en mettrais un tous les samedi si possible.

Chapitre 1
Un roi mal chanceux.
–Ne fais pas de bruit surtout, attention quand tu marches, une brindille et ta proie t’entendras.
–Ne t’en fais pas papa, laisse-moi faire, tu vas voir me répondit Mila le sourire aux lèvres.
Nous allions souvent à la chasse tous les deux, j’ai beaucoup appris à Mila, au fil des années elle est devenue une très bonne archère, bien meilleur que moi je l’avoue.
Je la suivais de quelques mètres, elle avançait comme une plume entre les arbres sans aucun bruit, la proie que nous avions traquer la moitié de la journée se trouvait à environ soixante mètre devant nous. Elle aurait très bien pu tirer et toucher sa cible a cette distant, mais sans certitude de tuer la proie, Mila n’aimait pas voir souffrir les gens et les animaux, c’est pour ça qu’elle s’approche au maximum pour que sa flèche soit fatale. Une fois à bonne distance, environ trente mètres, elle banda sont arc, elle décocha ensuite sa flèche qui alla directement se planter dans le coup du loup que nous chassions, il tomba instantanément au sol. Nous nous sommes approchés de lui couteau à la main au cas où mais il était bien mort. C’était bien le loup que nous chassions, autour de sa bouche le loup avait du sang et des bouts de tissu entre les dents, ce loup avait tuer un père, sont enfant et sa femme dans une petite ferme a l’extérieur de notre capitale.
–Prenons sa peau ma fille, ensuite nous trouverons un endroit où dormir, la nuit va tomber et nous n’aurons pas le temps de rentrer au château, ce loup nous a fait courir toute la journée et nous as éloigner.
–Va nous chercher des champignons ainsi que quelques herbes papa, ce soir nous mangerons du loup !
–J’y vais de ce pas ma fille.
J’ai laissé Mila a sont dépeçage, quant à moi j’ai cherché après quelques champignons, j’ai également essayé de trouver un endroit ou passer la nuit. J’ai très vite trouvé mon bonheur, une crevasse creusée dans la roche, j’y ai trouver des champignons et l’endroit où nous allions dormir cette nuit. J’entendais une rivière non loin, j’y suis aller pour prendre un peu d’eau, nous n’en avions plus beaucoup. En allant à la rivière j’ai également trouvé de la menthe, j’en ai pris quelque feuille pour le repas de ce soir.
Je suis ensuite retourné près de Mila pour lui montrer l’endroit que j’avais trouvé, elle venait de terminer de dépecer l’animal.
–Voilà papa, une très belle peau, elle fera un très beau manteau, c’est incroyable, je n’ai jamais vu de loup aussi grand de ma vie.
–C’est un loup sauvage des contrées barbare, je ne sais pas ce qu’il fait ici, ils sont bien plus dangereux que les loups que nous avons dans nos forêts.
–Je prend quelques morceaux de viande et ensuite c’est parti, tu as trouvé de quoi faire un bouillon ?
–Oui, j’ai de la menthe, j’ai trouvé un endroit où dormir aussi et de l’eau.
–Parfait, allons-y.
Nous sommes retournés au campement provisoire que j’avais trouvé, je suis allé chercher du bois sec pour faire un feu tandis que Mila s’occupait de préparer nos couchettes pour la nuit. Mila avait pris deux grandes couvertures dans son sac, elle prévoyait toujours tout, elle avait également prise une casserole et deux petites gamelles. Quand je suis revenu Mila avait déjà préparer la viande dans un bouillon avec un mélange de champignon et des feuilles de menthe, elle avait également ajouté quelques petites épices qu’elle avait mise dans son sac.
Nous avons allumé le feu, quand le repas était prêt nous avons mangé, la nuit était tombée depuis plus d’une heure quand nous avons terminé. Nous nous sommes ensuite couchés, il faisait chaud, nous étions en pleine été, la forêt était très calme, nous avons seulement entendu quelques bruits de chouette au loin.
Le lendemain matin nous nous sommes réveillés avec le soleil, nous avons ranger nos affaires, le feu c’était éteint tout seul durant la nuit. Nous avons pris le retour pour le château, nous avons marché durant une bonne partie de la journée, nous sommes arrivés en début d’après-midi. Pour rentrer au château nous devions traverser la ville, Mila et moi avions de grand manteau a capuche pour que personne ne nous reconnaisse.
Quand nous sommes arrivés au château Amon était là pour nous accueillir.
–Mon roi ! Nous nous sommes inquiétés pour vous et votre fille, ce n’est pas là le devoir d’un roi de chasser.
–Merci Amon, nous l’avons eu, regarder une belle peau de loup pour vous, faite la tanner et sa vous feras un très beau manteau.
–Je vous remercie mon roi, mais vous ne devriez plus faire ça, imaginer qu’il vous arrive quelque chose, prenez avec vous au moins votre garde royale.
–Vous seriez là pour prendre ma place s’il m’arrivait quelques chose grand conseiller lui répondit-je en souriant. Très bien, allons déjeuner ma fille, je pense que la reine sera contente de nous savoir en parfaite santé ma fille.
–Je vais prévenir maman pour qu’elle déjeune avec nous.
J’étais content de revoir Nazélie, il m’arrivait souvent de m’absenter durant plusieurs semaines du château mais au plus mon âge avançait, au plus j’avais des difficultés de vivre loin de ma femme la reine. Nous avons déjeuner tous les trois, Mila lui a raconter nos aventures, Nazélie n’aimait pas nous savoir sans protection, elle savait que si quelqu’un était au courant de nos escapade, nos ennemis tenteraient de m’éliminer.
Quelques jours après notre chasse je devais préparer un grand évènement autant pour moi que pour notre royaume, ma fille Mila allait avoir 18 ans et pour fêter cela, nous avions prévu une semaine de fête. J’avais fait venir du sud douze mille Magnolia pour en mettre partout en ville et dans la salle de réception. Tous les rois allaient être présent le soir de l’anniversaire de Mila. Un énorme souper seras organiser et un bal qui regrouperas les rois et les nobles du royaume. Ce jour resteras dans les mémoires, j’avais également fait faire une robe pour Mila, une robe que j’avais fait importer des Indes, un continent lointain que nous avions découvert il y a quelques dizaines d’année grâce à nos expéditions. Depuis nous échangions avec eux des matières premières, eux nous offrait des tissus rares, des épices que nous n’avons pas dans le royaume. Quand a nous nous leurs offrons des minerais rares, des armures et arme forgée.
Le soir de la réception j’ai rejoint Mila dans sa chambre, elle était avec son personnel de maison, j’ai demandé qu’elles sortent, je voulais parler à Mila en tête à tête.
–Ma puce, aujourd’hui c’est ton anniversaire, un cap important dans ta vie.
–Je te remercie papa pour tout ce que vous avez préparé avec maman, la salle de bal est magnifique.
–Tu n’as pas encore vu le meilleur ma fille, regarde ce que je t’apporte.
Elle ouvrit la boite, je vis c’est yeux briller.
–Papa, elle est magnifique, d’où vient-elle ?
Elle me sauta dans les bras et m’embrassa.
–Elle vient des Indes, elle est de notre part à te mère et moi. Je peux te parler un instant ma fille ?
–Ca ne vas pas papa ? Tu es bizarre.
–Assied toi s’il te plait.
Nous nous sommes assis sur son lit tous les deux.
–Je sais que c’est un jour spéciale pour toi mais il faut que nous parlions tous les deux.
–Que se passe-t-il ?
–Rien de grave, mais écoute moi bien. Tu le sais, le premier fils d’un roi du royaume seras le successeur au roi en cas de mort ou de donation de pouvoir.
–Oui je sais papa.
–Eh bien donc nous voilà, tu sais que ta mère et moi ne t’avons jamais offert de frère, tu es notre seul enfant.
–Oui.
–Se seras toi ma fille.
–Moi ? Je ne comprends pas papa.
–Tu seras reine lorsque je ne serais plus de ce monde, tu seras la première reine de notre royaume. C’est toi qui prendras place sur le trône.
–Ce n’est pas possible, seul un homme peut prendre cette position, tu le sais bien père.
–Je sais, mais les choses changent, le monde change, je veux que tu sois la reine et que tu prennes le pouvoir lorsqu’il sera temps pour toi. Je ne souhaite pas laisser le pouvoir a quelqu’un d’autre, quelqu’un qui n’est pas de notre famille, tu mérites cette place et tu es compétente pour la tenir. Tu es quelqu’un de bon, de juste, tu es parfaite pour notre royaume, tu y es même encore plus à ta place que moi, tu es la meilleure chose qui me soit arriver dans la vie, je suis fière de toi ma fille et le royaume ne pourrais trouver mieux.
–Mais…
–Ne dis rien ma fille, je dois juste te mettre en garde, ta prise de pouvoir seras très difficile. Le peuple aura du mal à accepter qu’une femme les dirigent, le conseil également, mais tu y arriveras, je n’en doute pas.
–Je ne sais pas… me répondit-elle hésitante.
–Moi je le sais, mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas encore prêt à laisser ma place dis-je en rigolant. J’ai encore pas mal d’année devant moi.
–Je l’espère papa, je ne supporterais pas de te perdre.
–Je te le promet ma fille.
J’ai serré Mila dans les bras, je suis ensuite sorti de la chambre pour qu’elle finisse de se préparer, ce soir nous allons festoyer jusqu’au petite heure.
Le soir venu nous avons accueillis tous nos invités, plus de six cent personnes rassemblées pour un diner dans les jardins du château. Tous étaient habiller d’une façon très chic, tous à la hauteur pour leur roi et la princesse qui allait fêter ces dix-huit ans.
Nous avons participé à un spectacle avant le diner, une pièce de théâtre racontant l’histoire héroïque du roi Alan face à eux, ils ont également mis en scène le combat final ou le roi fut victorieux. Ensuite les invités ont pris place dans les jardins pour déguster le repas servis par une centaine de serveur engager pour l’occasion. Une délégation des Indes était présente pour féliciter la princesse, une fois le repas terminer les gens se sont diriger dans l’énorme salle de bal du château. C’est Alan et Mila qui ont ouvert le bal, le roi était habillé d’habit rouge brodée d’or, Mila avait mis la robe que son père lui avait fait venir des Indes.
Une fois le bal ouvert, les invités sont entrés en piste, des tables étaient disposée tout autour de la salle pour que les invités puissent se reposer et boire ensemble, des verres en Crystal venant des Indes était utilisé pour servir du vin blanc.
Alan était assis à la plus grande table, à sa droite se trouvait sa femme la reine et à sa gauche Mila. Tout semblait se passer comme prévu quand Mila aperçus un homme habiller bizarrement, il portait un manteau long sombre avec une capuche qu’il mit sur son visage en approchant de la table du roi. Elle essaya d’interpeler son père pour lui dire mais il était en pleine discussion avec l’un des émissaires des Indes assis en face de lui, l’homme se rapprochât de plus en plus vite, il semblait passer inaperçu parmi tous les invités. Il s’approcha de plus en plus de la table royale jusqu’à la contourner, il courut en direction du roi et sorti de sous son manteau une grande dague, Mila se leva et le poussa, l’homme tomba laissant tomber au sol sa dague.
Les gardes arrivèrent presque aussitôt, le roi se leva et pris son épée qu’il avait à la ceinture, l’homme resta au sol, Mila avait le regard vide, elle semblait bouleversée.
L’un des gardes s’approchât de l’homme qui était au sol prudemment et mis un petit coup de pied à l’homme lui ordonnant de se lever, il ne bougea pas. Le garde l’attrapa par le manteau et le fit tourner sur lui-même, l’homme avait enfoncer dans le cœur une fourchette en argent, il avait déjà perdu beaucoup de sang, le garde vérifia avant de dire au roi que l’homme était mort.
Le roi fut escorté hors de la grande salle de bal accompagner de la reine et de Mila qui ne disait rien, c’était elle qui avait tuer l’homme pour sauver son père. Le roi fut emmené dans sa chambre, il prit la parole.
–Mila, ça va ma belle ?
–Oui… papa… Je crois que oui.
–Je suis désoler de ce que tu as dû faire mais tu as bien fait, tu m’as sauvé la vie.
–Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça, je n’ai pas réfléchi, je l’ai vu sortir une dague et j’ai pris la fourchette qui était devant moi, je n’ai pas voulu le tuer, je voulais simplement le blesser pour qu’il parte.
–Ma fille, tu n’y es pour rien, tu n’as rien fait de mal, tu as sauvé la vie de ton vieux père. Je suis juste désolé que cela arrive le jour de ton anniversaire.
Alan prit Mila dans ces bras pour la consoler.
La soirée a pris fin après cet épisode, les invités sont rentrés chez eux, une enquête a été menée par la garde royale mais aucun n’indice ne pouvais incriminer quelqu’un. L’homme semblait faire partie d’un groupe d’assassin reconnu par le royaume, cet homme n’avait ni famille ni ami hormis leurs frères de sang, tous étaient comme des fantômes. Il assassinait contre des primes, celui-là avait sans doute été appâter par le gain, car tuer un roi demande certainement une petite fortune. Cela pouvait venir de n’importe où dans le royaume ou même en dehors, la garde royale a été renforcée ainsi que tous les gardes du château.
Quelques semaines ont passé sans autre tentative d’assassinat sur le roi, le roi allait devoir partir pour le château de Kaptesse car le roi Téméavive était mort lors d’un accident de chasse et son fils Télénaron allait être nommer roi. Une enquête a été menée, mais le roi était mort avec certitude d’un accident, son fils ainsi que certains de ces amis étaient présent lors de l’accident, ils chassaient le cerf lorsqu’au bord d’un rocher sont cheval c’est emballer et a fait basculer le roi dans le fossé, il s’est fracasser la tête contre un caillou et est mort sur le coup.
Le voyage allait durer quatre jours, le roi allait partir avec sa garde royale plus vingt soldats en renfort, il allait y aller dans un chariot tirer par quatre chevaux. Comme le roi avait failli être assassiner quelques semaines plutôt, le grand conseiller à ordonner à six chariots de plus de partir en même temps avec la même escorte que le roi, Le roi serait dans le septième convoi. Si quelqu’un voulait réitérer la tentative d’assassinat sur le roi, il devrait faire appel à sept assassins différent cette fois et non plus un seul.
Le voyage c’est très bien passer, le roi Alan est arrivé sans embuche au château de Kaptesse, Alan a été accueillis avec tous les honneurs, le fils du roi Téméavive était très triste d’avoir perdu son père, ils étaient très proche. La cérémonie c’est passer quelque jour après l’arrivée de mon père, sept jours après la mort du roi Téméavive. Mon père est ensuite resté sur place durant trois jours avant de revenir au château, la reine Nazélie et Mila était contente de revoir le roi.
Les jours suivant le roi à passer du temps avec sa famille, Mila c’était remise de sa soirée d’anniversaire et de ce qu’elle avait fait pour sauver son père. Au fond d’elle elle savait que c’était la meilleure chose qu’elle avait à faire et puis elle finirait un jour comme reine et donc comme chef de guerre, elle savait qu’elle aurait à tuer à nouveau dans son futur. Elle était entrainée chaque semaine au combat militaire depuis son plus jeune âge, mais jamais elle n’avait pensé se servir de ces capacités de guerrière, c’est comme ça qu’elle avait pu tuer l’homme d’un seul coup au cœur, elle avait également des cours d’anatomie militaire.
Un soir alors que le roi était dans son lit avec la reine, un garde frappa à la porte.
–Entrer cria le roi.
–Je suis désoler de vous déranger à cette heure mon roi mais c’est urgent.
–Que se passe-t-il ?
–Ce sont les émissaires des Indes, ils devaient rentrer hier en bateau mais le bateau a été couler par les pirates, l’un de nos hommes présents sur le bateau a su s’enfuir et nous a confirmer que les émissaires ont été capturer par les pirates.
–Non, ils n’avaient pas une escorte royale avec eux ?
–Si dit Amon en entrant dans la pièce d’un air furieux, bien sûr que si mon roi, mais les pirates étaient nombreux, ils pensaient sans doute avoir affaire à vous. Rarement une telle escorte est mise en place pour les voyages en bateau, sauf quand le roi est abord, ils ont cru que c’était vous et quand ils ont vu qu’ils c’étaient tromper ils ont décidé de prendre les émissaires à la place, ils doivent se douter qu’ils ont une certaine valeur.
–Envoyer des informateurs dans les régions avoisinantes du royaume, nous devons absolument savoir où ils sont retenus, nous devons les libérer, je ne veux pas prendre le risque de déclencher une guerre avec les Indes alors que nous venons d’ouvrir une route commerciale avec eux.
–C’est fait mon roi, dès que j’ai eu l’information de leur capture j’ai envoyé des informateurs aux quatre coins du royaume, ils iront trainer dans les bars malfamés que c’est pirate fréquente.
Deux jours ont suffi pour que les informations d’où se trouvait les émissaires arrivent jusqu’aux oreilles du roi. Ils se trouvaient enfermer non loin du grand royaume, as à peine quelques kilomètres sur les côtes sauvage, dans une grotte habitée par les pirates. Ils avaient fait une demande de rançon, cent mille pièces d’or par émissaire, ce que le roi a fait semblant d’accepter. Les émissaires devaient être échanger trois jours plus tard, le roi rassemblas une troupe de soixante soldats pour partir sur les côtes sauvages pour y libérer les émissaires. Le roi allait mener les troupes car le commandant d’armée était en campagne hors du royaume, Mila insista pour accompagner son père, elle voulait voir à quoi ressemblait une vraie bataille, le roi accepta après que Mila ait insister, il lui fit assigner huit gardes du corps.
Le roi décida de partir le soir même, ils attaqueraient dès l’aube, lorsque les pirates dormiraient et désaoulaient. Les éclaireurs avaient signalé une vingtaine de pirates présent dans la grotte ainsi que l’un des capitaines des pirates, un vieux corsaire.
Une fois prêt les hommes se sont mis en marche sur leurs chevaux, quelques heures après ils sont arrivés à quelques centaine de mètre de la grotte où se trouvaient les pirates, ils ont continué le reste de la route à pied sans un bruit, quelques hommes sont restés en arrière pour garder les chevaux.
Mila avait mis son armure, une armure faite en acier poli, les ornements était doré, l’emblème du royaume y était dessiné, le Magnolia. Le roi Alan avait également enfilé sa vieille armure, c’est dans cette armure qu’il avait vaincu le maitre des créatures du chaos, l’armure avait dû être réajustée à plusieurs reprise et réparée également, le roi avait mené beaucoup de combat depuis cette nuit-là et son armure l’avait sauvé bien des fois.
Ils sont arrivés assez rapidement sur place, ils ont pris position tout autour de l’entrée de la grotte, l’endroit ne semblait pas garder. Seul quelques pirates se trouvaient sur la plage, ils étaient tous endormir, dès l’aube le roi ordonna l’assaut dans la grotte, Mila quant à elle resta dehors avec c’est garde du corps.
Les soldats foncèrent sur les pirates réveiller par le bruit, ils n’ont pas eu le temps de réagir qu’ils étaient égorgés les uns après les autres, le roi entra dans la grotte accompagner d’une vingtaine de soldats.
Mila semblait effrayée de voire à quel point les soldats égorgeaient les pirates sans aucun regret, elle avait également peur pour son père a l’intérieur de la grotte. Au bout de quelques instants un homme sorti en courant de la grotte, Alan le suivait accompagner de plusieurs soldats.
–Mila, tu as ton arc ? Demanda le roi.
–Oui père.
–Tire lui une flèche dans la jambe lui ordonna le roi.
Mila prit sont arc et sorti une flèche de son carquois, elle mit en joug sa cible et tira sans réfléchir, sa flèche transperça la jambe du pirate sans pour autant l’arrêter. Elle décocha une seconde flèche qu’elle envoya dans sa seconde jambe, l’homme cria de douleur et tomba au sol. Les soldats allèrent le chercher pour le ramener devant le roi. D’autres soldats sortaient de la grotte accompagner des émissaires, ils semblaient tous les quatre en forme.
Le roi s’approchât du pirate et donna un coup d’épée dans la jambe du pirate que ne saignait pas.
–Joli coup ma fille, mais je crois que tu as visé sa jambe de bois, le seconde flèche était la bonne.
–Salaud cria le pirate, vous avez tué m’es hommes bande de couard.
–Je pense que le couard c’est celui qui partait en courant, laissant les cadavres de c’est hommes derrière lui, lui répondit le roi Alan. Qui es-tu pirate ? Tu es leur capitaine ?
–Qui je suis ? Je suis le grand Alrabi, le plus grand corsaire des mers du monde connu des hommes.
–Alrabi ? Tu faisais donc partie des neufs ? Je me trompe ?
–Non, tu ne te trompe pas, j’ai été banni par c’est enfoiré, je n’étais plus assez puissant pour eux apparemment.
–Ont dit que tu as perdu toute ta flotte contre les barbares des mers.
–Tu le connais père ? Demanda Mila.
–Non ma fille, juste son histoire, enfin l’histoire des neufs et des pirates.
–Tu es instruit pour un noble dit Alrabi en rigolant.
–Ne rigole pas pirate, tu vas mourir sous se lever de soleil, tu as attaqué les mauvais bateaux, tu n’aurais jamais dû.
–Ne fais pas durer le plaisir alors et tue moi pauvre couard.
Alan s’approchât du pirate et d’un coup d’épée lui trancha la tête qui roula et tomba au pied de Mila.
–Allons-y ordonna Alan, prenez soin des émissaires, ils reprendront la route jusqu’au Indes dès demain soir.
La troupe ne mis que quelques heures pour rentrer, Mila était encore un peu choquée d’avoir vu la tête du pirate rouler à ces pieds, mais elle savait que son père ne l’aurait pas tué s’il n’avait pas tenté de marchander les émissaires et beaucoup d’hommes étaient mort lors de cet attaque.
Le lendemain matin lorsque Mila à déjeuner avec son père elle lui as demander qu’il lui raconte ce qu’il savait sur les pirates et surtout sur les neuf d’où Alrabi avait été banni.
Je ne sais pas tout sur cette histoire ma fille, mais pour faire simple, lorsque le royaume a décidé de former une coalition, l’un de c’est ennemi principaux étaient les pirates. Les pirates avaient un capitaine et chacun d’eux étaient indépendant, lorsqu’ils ont appris la coalition des royaumes, ils ont décidé de faire pareil. Ils ont donc créé les neuf, qui sont en réalité les neuf pirates les plus puissant du monde connu des hommes, ce sont eux qui prennent toutes les grandes décisions, tous les autres capitaines moins puissants les suivent. Ils ont également un livre de lois entre eux, je sais que ce Alrabi était l’un des plus puissant d’entre eux il y a une trentaine d’année d’ici mais il a été banni. Il avait plus de huit cent navire et plus de cent mille hommes sous c’est ordre à ce que l’on raconte, mais il a eu les yeux plus gros que le ventre. Il a envoyé la moitié de ces navires dans les terres inconnue en ayant espoir d’y trouver des terres et des trésors qu’il pourrait revendiquer, seulement aucun de ces navires ne sont revenu et plus personne n’a osé depuis lors d’envoyer des navires dans c’est eau trouble. Il a également perdu une grosse partie de sa flotte en attaquant des convoie du royaume, il a également coulé beaucoup de nos navires, nous avons donc mener une attaque de grande envergure contre sa flotte. De là, il a perdu presque la totalité de sa flotte et il a abandonné les survivant en fuyant, depuis lors c’est hommes ne l’ont plus suivi et ont rejoint d’autre capitaine des neuf, lui a été banni. Personne ne savait ce qu’il était devenu depuis lors, on disait qu’il ne lui restait que son navire et une cinquantaine d’hommes.
–Mais ils ont attaqué la flotte du royaume avec plusieurs bateau non ? De plus ils avaient une escorte avec eux, un seul navire n’aurait jamais pu les vaincre tous.
–Oui mais les pirate ont également un système de mercenaire, ils acceptent n’importe quelle mission contre un tas de pièce d’or. Alrabi devait encore avoir un petit magot mais l’endroit où il se trouvait restera un mystère pour tous, il la emmener dans sa tombe.
Les jours suivant Mila et Alan son parti à la chasse ensemble, cette fois ils étaient accompagnés d’une escorte royale. Lorsqu’ils sont retournés au château Amon et Nazélie les attendaient, ils avaient l’air très inquiet.
–Que se passe-t-il ? Demanda Alan.
–Mon roi, nous avons de mauvaises nouvelles, ils sont de retour lui répondit Amon.
–Qui ? Les barbares ? Demanda Alan inquiet.
–Non mon roi, pire encore lui répondit Amon d’un ton solennel.
–Ce n’est pas possible, j’ai tué leur maitre, sans lui c’est créatures sont libérée, c’est le chef des barbares qui nous l’avait dit à l’époque.
–Eh bien il faut croire qu’il s’est trompé.
–Comment le savez-vous ?
–Eh bien là ou vous avez tué leur maitre, dans les plaines d’Azalon, un brouillard c’est lever il y a de sa quelques jours et il persiste même en journée. Les hommes n’osent s’en approcher et les hommes qui gardaient l’autel qui a été bâtis sur l’endroit ou leur maitre est mort ne donne plus signe de vie. Ils ne sont jamais ressortis de l’autel, de plus des cris inhumains retentissent dans les plaines, nous devons envoyer une troupe et enquêter sur ce mal.
–Cela doit être une blague d’un gout douteux de quelqu’un, peut-être d’un de nos ennemis ou encore les pirates, nous avons tué un ancien des neuf il y a peu après tout. Même s’il a été banni de leur clan, ils ont pu le venger.
–Mon roi, j’aimerais que ce soit sa répondit Amon, mais nous savons l’un comme l’autre que ce n’est pas le cas.
–Très bien, faite préparer ma garde royale, dite aux hommes sur place d’encercler l’autel s’ils n’osent y entrer, je me mets en route dans deux heures, que nos hommes soit prêt.
–Très bien mon roi, je le fais de ce pas.
–Le commandant d’armée sera de retour à partir de quand ?
–Il seras la dans 1 jours mon roi, peut-être devrions nous l’attendre.
–Nous n’avons pas de temps à perdre, laisser lui un message qu’il nous rejoigne sur place dés sont retour, il arrivera un jour après nous. Au faite Amon, tenez-vous également prêt, je vous veux avec moi dans cette expédition.
–Mais mon roi, je ne suis pas un guerrier, je ne vous serais d’aucune utilité.
–Si Amon, vous nous serez utile comme enquêteur et comme conseiller, vous avez votre place dans cette expédition.
–Bi… bien moi roi, il sera fait selon vos envies et besoins.
Mila à demander à son père de l’accompagner, elle avait un mauvais présentiment et ne voulais pas laisser son père partir sans elle. Le roi avait refusé, elle se devait de rester au côté de sa mère, il ne connaissait pas le danger qu’il allait pouvoir affronter, il ne voulait pas que quoi que ce soit lui arrive.
Deux heures après comme convenu le roi c’est mis en marche accompagner de Amon et de sa garde royale. Amon avait décider d’ajouter cinquante hommes à la garde du roi par précaution. Deux jours après ils sont arrivés dans les plaines d’Azalon, le voyage c’était fait sans encombre. Les hommes déjà présents sur place avaient entouré l’autel comme l’avait ordonné le roi à bonne distance.
–Mon roi, je suis le capitaine Azrolo, je suis heureux de vous accueillir ici, nous avons encore six hommes dans l’autel, ils ne sont jamais ressortis de là après leur garde.
–Pourquoi la relève n’est pas entrée pour voir ce qui s’y passait ?
–Oh mon roi, je suis désolé mais mes hommes ont eu peur, vous savez, aucun d’entre eux n’est à l’aise lorsqu’ils ont une garde ici, cet endroit reste maudit dans nos têtes. Quand ils ont vu le brouillard, ils n’ont pas osé entrer.
–Très bien, je vais y aller avec ma garde, restez en dehors de l’autel et si vous entendez des combats à l’intérieur, lancer l’assaut, c’est bien compris capitaine ?
–Oui oui mon roi, je vais vous accompagner avec quelques soldats, votre présence les rassure et ils vous suivront.
–Non, ce n’est pas la peine, rester ici avec vos hommes et tenez-vous prêt.
–A vos ordre mon roi.
–Mon roi, je vais rester avec le capitaine et ces hommes je pense.
–Non, venez avec nous Amon, je ne pense pas que nous ayons quoi que ce soit à craindre.
–Très bien… mon roi, je vais vous suivre, sachez toutefois que je ne suis pas rassuré et je comprends c’est hommes qui n’ont pas oser approcher. Je suis sans doute un peu trop croyant mais j’ai un mauvais présentiment.
–Ne vous inquiéter donc pas Amon, vous avez passé l’âge de voir le mal partout, il est certain que quelque chose s’est produit ici même, mais je ne pense pas que sa ait un lien avec eux.
–J’espère que vous avez raison mon roi.
–Pour vous rassurez je vais vous assigner deux gardes du corps, ils ne vous quitteront pas d’une semelle.
–Merci mon roi.
Le roi ordonna à c’est troupe d’avancer avec lui jusque devant les grandes portes de l’autel. Le bâtiment était très grand, il faisait plus de trente mètres de haut, il était rectangulaire, la façade faisait quinze mètres de large et le bâtiment faisait quarante mètres de long. L’endroit était rarement utilisé, juste une fois par ans pour commémorer ceux qui ont perdu la vie lors de la troisième grande guerre.
Au plus la troupe s’avançait, au plus des cris se faisaient entendre, on aurait dit un mélange de cri d’enfant, de femme et d’homme souffrant le martyr. Personne ne semblait à l’aise dans la troupe, même Alan ressentait une peur inexplicable, mais il devait garder son sang-froid pour découvrir ce qui se passais à l’intérieur de cet autel. Un courant d’air froid tournait autour de l’autel, un courant d’air froids à glacer les os d’un mort.
–Très bien soldats, ouvrez la grande porte, nous allons entrer.
Les soldats se mirent à quatre pour entre ouvrir la grande porte qui semblait bloquée par quelque chose à l’intérieur. Lorsque la porte c’est ouvert, une fumée verte est sortie de l’autel, les hommes qui avaient ouvert la porte trébuchèrent tous et tombèrent en arrière, comme si une force invisible les avaient poussés. Les hommes avaient peur et très froid, certains d’entre eux avait du mal à garder leur position, le roi ordonna à une partie des hommes de garder la porte, tandis qu’il allait entrer avec une vingtaine d’autre, Amon les accompagna à l’intérieur sous les ordres du roi.
Tous sont entrer prudemment, les hommes comprirent pourquoi la porte était bloquée, c’était les six cadavres des hommes qui gardaient le bâtiment. Leur corps semblait intact, ils étaient très blancs, sans doute parce qu’ils étaient morts depuis plusieurs jours et le froid à conserver les corps. Une légère brume flottait au sol, l’intérieur du bâtiment était très sombre, les gardes allumèrent les torches, ils s’avancèrent en formation défensive. Une fois arriver au centre du bâtiment, un souffle encore plus fort que ceux qu’ils avaient ressenti jusque-là se fit ressentir, il était tellement fort que toutes les torches s’éteignirent les unes après les autres.
Le bâtiment était replongé dans le noir, les soldats ne voyaient plus rien, les hommes se cognèrent les uns aux autres, ils étaient pris d’une grande panique. Un sifflement si fit ensuite entendre, ensuite le roi Alan senti quelque chose de chaud sur son visage, plusieurs hommes tombèrent ensuite sur le sol, lâchant épée et bouclier.
Le roi se rendit vite compte que ce qu’il sentait de chaud sur son visage était en réalité le sang de ces hommes, certains d’entre eux avaient été faucher par la mort en une seconde, Alan ne comprenait pas comment cela était possible.
–Soldat cria Alan, défendez-vous, un ennemi se cache dans le noir.
Il se tourna ensuite en direction de Amon, il distinguait difficilement son visage.
–Amon, sortez, la porte se trouve droit derrière vous, sortez, appelez les renforts.
–Très bien mon roi, j’y vais de ce pas dit-il difficilement.
–Amon lui dit le roi avant qu’il ne se retourne, s’il m’arrive quelque chose, prenez soin de ma fille et aider là à régner dignement, aiguiller là.
–Il ne vous arriveras rien, je vais chercher des renforts mon roi.
Amon était perdu, il a couru en direction de la porte qui se referma devant lui d’un coup sec. Soudain la brume verte apparut à nouveau, elle illuminait un peu la salle, les hommes n’étaient plus aussi aveugles. Le roi aperçut à ces pieds la moitié de ces hommes mort, baignant dans une mare de sang, de leur propre sang.
Soudain une ombre apparut au fond de la salle, une ombre qui semblait flotter dans l’air. Une fraction de seconde après l’ombre s’approchât du groupe et tua le reste des hommes du roi Alan, ils tombèrent les uns après les autres. Le roi n’eut le temps de rien faire alors que l’ombre était face à lui, Amon était toujours près de la porte, s’acharnant à essayer de l’ouvrir, on entendait les hommes qui se trouvait dehors frapper sur la porte pour l’ouvrir ou la briser mais rien n’y faisait.
–Alors c’est toi, je savais que j’aurais ma revange dit l’ombre d’une voix rocailleuse.
Le roi ne pouvait plus bouger, il était comme paralysé sur place, il sentait sont sang bouillir à l’intérieur de son corps, alors que son corps était gelé.
–Qui es-tu demandas le roi difficilement.
–Tu as essayer de me tuer et tu ne sais pas qui je suis ? Pauvre larve, je suis celui qui va te tuer toi et ta famille, toi et ton royaume, toi et ton monde.
–Tu es le maitre ? Mais je t’ai tué, ce n’est pas possible.
–Tu ne m’as pas tué, tu m’as blessé, tu m’as obligé de fuir devant mes esclaves, devant ma famille et je vais te faire payer cela.
–Qu’es-tu ?
–Qu’es que je suis ? Je suis comme toi, du moins je l’étais, mais j’ai été maudit et je compte faire payer cela a tout ceux se mettant devant mon chemin.
–Tu peux me tuer, mais jamais tu ne pourras être victorieux face au monde des hommes.
–Vous n’êtes que des larves que je balaye d’un revers de la main, de plus vous êtes incapable ce vous entendre entre vous.
–Peut-être, mais contre l’adversité, l’homme est capable de s’allier avec ces pires ennemis pour en vaincre un autre encore plus terrible.
L’ombre rigola un instant avant de reprendre la parole.
–Je tuerais chacun de vos peuples les uns après les autres, je commencerais par ton royaume, ce seras la chute des grands rois, la chute du monde.
Une grande main apparut d’en dessous de la grand robé déchirée de l’ombre, c’est doigts étaient comme des couteaux coupants, il l’enfonça dans le vendre du roi. Il enleva ensuite sa main du ventre du roi, le roi tomba lourdement au sol, l’ombre lécha le sang sur c’est doigt en regardant Amon qui tentait toujours de sortir du bâtiment.
–A nous deux cria l’ombre en s’approchant doucement de Amon.
Amon se retourna apeuré face à l’ombre et la pria de ne pas le tuer.
–Je ne te tuerais pas humain, je sens en toi le mal, je sais que tu pourras m’être utile dans mon plan.
–Mais… mais…
–Non, tais-toi conseiller, je sais ce que tu as fait, je peux lire dans ton esprit, je sais que tu as tué ton ami, le roi avant celui-ci, pour prendre sa place, je sais que tu as essayé de faire assassiner la carcasse derrière nous qui tu servais de roi. Tu as échoué à deux reprises, mais cette fois tu réussiras, je t’en donnerais les moyens.
–Co… co… comment pouvez-vous savoir cela ?
–Je te l’ai dit, je lis dans ton esprit pauvre fou, je sais tout de toi, de ta méchanceté, de se que tu es prêt à faire pour avoir le trône de ton royaume. Quand tu sortiras d’ici, tu te débrouilleras pour prendre place sur le trône, je t’enverrai un émissaire pour te donner t’es ordres, tu m’aideras à détruire ton royaume de l’intérieur.
–Mais pourquoi je ferais ça.
–Car quand ton royaume sera en ruine, le reste du monde suivra et la tu seras celui qui règneras sur le monde, sur le monde du chaos. Maintenant sort d’ici et fait ce que je t’ai dit ou tu mourras grand conseiller, ou devrais-je dire, grand roi.
L’ombre brisa la grande porte en bois d’un grand cri, les hommes se trouvant derrière furent expulser en arrière, le grand conseiller sorti du bâtiment et trébuchât quelques mètres après. L’ombre prit place au-dessus du bâtiment et hurla à nouveau, la structure du bâtiment commença à vibrer, il s’écroula ensuite de l’intérieur, l’ombre disparut dans le ciel noir de la nuit, laissant derrière lui le bâtiment en ruine.
Ce soir, un grand homme, un grand roi était mort.
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Dim 8 Mar - 4:30
Chapitre 2
Un nouveau règne qui divise.
– Grand conseiller Amon, ça va ? Où est le roi ? Demanda l’un des soldats qui se relevait difficilement.
Amon se leva à son tour.
– Le roi ? Le roi est mort dit-il d’un air triste. Ce royaume est orphelin et est en proie d’un mal bien plus puissant que nous pourrions l’imaginer. Nous devons rentrer au château au plus vite.
Le brouillard de la grande plaine se dissipa, tout redevint normal. Amon est un groupe de soldat prit la route pour rentrer au château au plus vite. Sur le chemin du retour, ils ont croisé le commandant d’armée qui était en chemin pour les rejoindre. Amon lui expliqua tout ce qui c’était passer, certains hommes étaient restés sur place pour fouiller les ruines mais Amon savait qu’ils ne retrouveraient que des cadavres charcuter par l’ombre.
Une fois de retour au château Mila et Nazélie était là pour accueillir leur père, quand elles ne l’ont pas vu avec Amon, la reine et Mila se sont approcher.
– Ou est mon mari ? Demanda Nazélie d’un air inquiet.
– Ma reine, je suis… désoler mais...
Amon n’eut pas le temps de finir sa phrase que Nazélie se mit à genoux et hurla de chagrin, Mila quant à elle resta droite comme un piquet, sans aucune réaction, le visage pencher sur sa mère. Au bout de quelques instant elle se pencha pour relever sa mère.
– Viens maman, viens, ne restons pas là, allons dans ta chambre. Dit-elle d’un ton neutre.
Elles sont parties toute les deux accompagner de quelques suivantes. Amon ordonna une réunion de la plus haute importance, tous les rois étaient convoqués au plus vite, les messagers sont partis à peine vingt minutes après que l’ordre ai été donner.
Quelques jours plus tard tous les rois arriveraient et Amon pourras enfin prendre le pouvoir, il savait que les rois n’accepterait pas une femme a la tête du royaume qui dirige les douze, ni même à la tête d’un des douze. Ce n’est pas la place d’une femme, la femme n’est pas assez forte pour gouverner.
Mila et Nazélie restèrent enfermée dans leur chambre, Nazélie n’arrêtait pas de pleurer, elle était inconsolable d’avoir perdu son mari, Mila quant à elle resta stoïque tout le temps.
Une fois tous les rois arriver, Amon organisa les funérailles du roi, son corps avait été retrouver et ramener au château. Il avait été nettoyer et placer dans un cercueil d’or, il était habillé d’une tunique blanc brillant, Nazélie n’avait pas voulu le voir, Mila est entrée dans la salle ou le corps de son père était en attente de la cérémonie.
Elle fit sortir toute les personne présente à l’intérieur, elle s’approcha du cercueil doucement, elle se pencha et vit son père allonger, il semblait en paix.
– Papa, je suis désolée que tu sois partit si tôt, tu n’aurais pas dû entrer avec si peu d’homme, même si je crois que le nombre n’aurait pas changer la finalité de l’histoire. En écoutant Amon raconter ce qui c’est passer, je me demande quel ange veille sur lui pour qu’il s’en soit sorti indemne.
Mila parlait d’une voix lourde.
– Je sais que tu n’aurais pas cru que je devrais prendre les rênes du royaume aussi vite mais je le ferais, comme tu le voulais père. Je te promets que je te serais digne, je serais digne pour le royaume, je serais juste, je pense être prête a cela.
Mila se pencha et embrassa le front de son père.
– Adieu papa, je t’aime.
Elle se tourna et sortit ensuite de la pièce, la cérémonie allait commencer d’ici quelques heures. Des Magnolia avait été disposer partout dans les treize royaumes, tous étaient en deuil et pleurait un roi connu de tous pour être un roi juste et bon. Tous ceux qui en avait eu la possibilité avaient fait le voyage pour assister aux funérailles, des centaines de milliers de personnes étaient présente, ont avaient jamais vu autant de gens rassembler au même endroit au même moment. Le roi a été emmener dans un carrosse recouvert de feuille d’or à travers la ville, le peuple lui rendit honneur. Le roi a ensuite été emmener sur les hautes collines pour être placer dans le caveau qui lui avait été réserver dans le tombeau du repos. Mila et Nazélie ont suivis à pied le convoi comme la tradition le demande, elles étaient accompagnées des plus haut placer du royaume et des douze rois, la garde royale étaient également présente pour escorter le carrosse, ils avaient revêtu leur armure de parade, elle était argentée et recouverte à certain endroit de feuilles d’or, le soleil reflétait dedans.
– Mila, si tu as besoin de parler n’hésite pas lui dit le commandant d’armée. J’ai remarqué que tu avais gardé toute ta colère et ton chagrin à l’intérieur de toi, ce n’est pas une bonne chose.
Mila lui répondit en esquivent sa question.
– C’est un beau jour pour un enterrement, mon père ne pouvait rêver mieux, il n’y a aucun nuage à l’horizon, le ciel est bleu et le soleil nous accompagne sans nous ralentir par une chaleur trop lourde.
– Mila.
– Je vous remercie grand commandant, sa iras, je vous l’assure, j’ai juste besoin de temps mais ne vous en fait pas.
– Très bien, très bien.
Le corps du roi disparu quelque instant après dans le tombeau du repos, sont cercueil était placer au côté de son père et de son grand père. Les hauts placer du royaume sont ensuite rentrer au château, Amon à souhaiter rassembler les rois dès le soir, il fallait que quelqu’un reprenne le royaume en main au plus vite, la situation était grave.
Tous avaient pris un repas dans la grande salle en l’honneur du défunt, ensuite tous les rois se sont rassemblés dans une grande pièce. Avec eux se trouvait Nazélie, Mila, le grand commandant et Amon, il prit la parole une fois la porte fermée à clé derrière lui.
– Mes amis, je suis désolé de vous presser autant mais nous devons agir vite, vous savez que le danger est proche et il n’hésitera pas à profiter de nos faiblesses pour agir.
– Ou veux-tu en venir Amon ? Lui demanda Argos. Même si j’en ai une petite idée.
– Et bien nous devons avoir un nouveau roi, nous devons nous décider au plus vite.
– Nous ne pouvons élire un roi sans le conseil, tu le sais Amon. Lui répondit le commandant d’armée.
– Nous n’avons pas le temps pour sa dit Amon, nous devons agir vite, vous le savez.
– De toute façon nous savons qui prendra la place du roi Alan, Mila seras notre nouvelle reine dit le grand commandant.
– Une femme sur le trône ? Non mais vous rigoler la ? Sans vous offenser Princesse. Dit Hurlul.
– Je suis d’accord avec vous Hurlul lui dit Amon, j’étais le conseiller du roi et je saurais me montrer à la hauteur.
– Le roi souhaitait que sa fille prenne place sur le trône, je dois agir en conséquence dit le grand commandant.
– Eh bien justement non, dit Amon, j’étais avec le roi lorsqu’il a poussé son dernier soupir, il mas parler juste avant de mourir. Il m’a chargé de rentrer au royaume et de prendre place sur le trône, que j’étais la personne que le royaume avait besoin, il m’a dit que Mila n’aurait jamais la force de régner, surtout avec le mal qui s’approche de nous.
– Oui et bien je me demande comment vous vous en êtes sorti vivant d’ailleurs cria Nazélie, tous sont mort et vous vous êtes rentré à la maison sans aucune blessure. Jamais mon mari n’aurait dit ça, je le connais mieux que vous tous, il voulait que Mila prenne place sur le trône et nous feront comme le roi le voulait.
– Ma reine, calmer vous lui dit Amon, le chagrin vous fait dire n’importe quoi, Mila dit-il en se retournant vers elle. Vous le savez-vous, que jamais vous ne pourriez régner, vous vous en rendez compte non ? Et je suis le mieux placer pour prendre cette place.
– Mon père n’aurait jamais voulu de vous sur le trône, vous êtes fourbe et faux, je régnerais sur vous les douze, sur le royaume, que vous le vouliez ou non. Dit Mila d’un ton sûre d’elle.
– Je serais avec vous ma reine dit Argos.
– Moi aussi, je mourrais pour vous dit le grand commandant d’armée.
– Soyez réaliste bon sang, une femme a la tête du royaume dit Armarusse en rigolant.
– Votons, c’est simple, nous sommes seize ici, votons et nous seront fixer dit Hurlul.
– Bonne idée dit Amon, nous ne devons pas laisser les querelles nous séparer, nous devons rester fort et souder mes amis.
Tous votèrent l’un après l’autre, Nazélie, le commandant, Mila, Argos, Zénégos et Marovin ont voter en faveur de la reine, les autres pour Amon.
– Sept votes pour vous princesse, contre neuf pour moi le grand conseiller Amon, ou devrais-je dire, le roi Amon. C’est une bonne chose pour tout le monde, croyez le bien.
– Vous ne pouvez pas hurla Mila, vous ne pouvez pas me voler ma place sur le trône, ce n’est pas ce que mon père voulait !
– Votre père n’est plus princesse lui dit Amon, calmer vous ou je fais venir les gardes pour vous emprisonner.
– Vous ne toucherez pas un cheveu de ma fille cria Nazélie.
– Je tuerais tous ceux qui essayeront de toucher Mila cria à son tour le commandant d’armée.
– Très bien, Amon se retourna et ouvrit la porte fermée à clé, vous me trouverez sur mon trône, envoyer des messagers dans toutes les contrées, je veux que tout le monde sache que je suis le nouveau roi dit-il avant de sortir de la pièce.
– Ce n’est pas possible, il ne peut pas dit Mila déçue.
Tous sortirent de la pièce, seul Argos, Nazélie, le grand commandant et Mila sont rester là.
– Cet homme est mauvais dit Argos, nous devons nous méfier, nous ne pouvons plus rien faire, les rois ont voter, mais nous ne sommes pas obligés de le suivre jusqu’à notre perte par contre. Pour moi c’est vous ma nouvelle reine Mila.
– Je vous remercie Argos, vous avez toujours été sage et bon avec mon père, il serait reconnaissant de votre soutien envers moi.
Les jours suivant tout le royaume était au courant que Amon était le nouveau roi, le grand commandant d’armée avait disparu, une rumeur dans le royaume disait qu’il avait fui du royaume car il n’acceptait pas le nouveau roi. Un nouveau commandant d’armée avait été nommer, Mila et Nazélie quant à elle ne sortait plus beaucoup de leur chambre, elle essayait de trouver une solution pour que Mila puisse avoir la place qui lui est dur, mais rien ne semblait pouvoir le donner raison.
Amon commençait à organiser une armée, des soldats avaient été mis en poste aux frontières pour renforcer les soldats déjà présents. Une garde royale le suivait partout où il allait, il semblait avoir peur de quelque chose, sans doute que quelqu’un l’assassine pour que Mila puisse prendre sa place, c’était le seul moyen pour qu’elle récupère ces droits. Mais jamais Mila n’aurait fait couler le sang juste pour régner sur le royaume, si elle devait trôner un jour, elle le ferait loyalement contrairement à ce traitre de Amon.
Quelques jours après la prise de pouvoir de Amon, alors qu’il était assis sur le trône, une personne était devant les portes du château et demandait à lui parler d’urgence. Il fit entrer la personne, il était intrigué, les gardes lui avait dit que c’était une grande femme mince avec de long cheveux blond, il se demandait qui elle pouvait être. Quand elle est entrée dans le grand hall Amon aperçut une femme telle que décrite par les gardes, elle était habillée d’une longue tenue noire et avait au pied des bottes noir brillant.
– Conseiller Amon ou devrais-je dire roi Amon dit-elle en s’approchant du nouveau roi assis sur son trône.
Elle avait une voix douce et avait les traits du visage fin et creuser, elle avait les yeux noirs, elle ne semblait pas avoir plus d’une vingtaine d’année.
– Bien le bonjour, qui êtes-vous ? Que puis-je pour vous ? Je ne pense pas vous connaitre.
– Vous allez me connaitre ne vous en fait pas, je serais votre conseillère à présent.
Amon rigolât.
– Ah bon ? Vous semblez sur de vous jeune fille.
– Parlons en priver, vos gardes n’ont pas à savoir ce que nous allons nous dire lui répondit-elle toujours aussi sur d’elle.
Amon la regardât intriguer, il semblait comprendre que sa présence n’était pas innocente, elle devait être envoyée par l’ombre. Amon accepta de recevoir la jeune femme seul à seul, ils se sont retrouvés dans une petite salle et se sont assis autour d’une grande table.
– Alors, je vous écoute.
– Je vais commencer par répondre à votre première question, je m’appelle Zolménia et pour répondre à votre seconde question, vous ne pouvez rien pour moi, c’est moi qui est là pour vous. Comme je vous l’ai dit, vous allez me nommer grande conseillère du roi et je vous guiderais pour la suite.
– Nommer une femme à ce poste alors que j’ai tout fait pour que Mila ne soit pas nommée reine sur le trône ? Mais pourquoi vont me prendre mes allié et mon peuple.
– Je ne vous demande pas le rôle de reine mais de conseillère du roi, peu importe ce que pense les autres de vous, leurs jours sont comptés, croyez-moi.
– Très bien, je vais vous mettre officiellement à ce poste mais les gens vont se demander qui vous êtes et d’où vous venez.
– Vous n’aurez cas dire que je suis l’une de vos cousines éloignées revenue dans le grand royaume.
Amon hocha la tête.
– Bien commençons notre travail, vous avez écartez Mila du trône mais nous devons nous en débarrasser définitivement.
– Vous voulez dire la…
– Oui la tuer coupa Zolménia.
– Mais pourquoi faire ça ? Elle ne pourra pas trôner, sont rôle dans le royaume n’as plus d’importance, la seule personne qui aurait pu l’aider a été mise au cachot.
– Sa mère devra mourir également continua Zolménia sans faire attention à ce qu’Amon pouvait dire.
– Nazélie, non, je ne peux pas faire ça.
– Vous voulez dire que vous avez essayé d’assassiner le roi sans remord et vous ne voulez pas toucher à sa fille et sa femme ?
– Ce n’est pas la même chose, je ne peux pas tuer ces deux femmes.
– Ce n’est pas vous qui le ferez, vous n’aurez qu’une chose à faire, les envoyer à Zenovich, c’est bientôt l’anniversaire d’Argos leur roi, vous enverrez Mila accompagner de Nazélie pour lui offrir un cadeau, je suis sûr que vous trouverez un cadeau à sa hauteur. Sur la route Mila et sa mère seront attaquer par des barbares, du moins c’est ce que les gens croiront, elles seront tuées ainsi que leur escorte, aucun témoin n’en échappera vivant.
– Bien… Dis Amon d’un ton résigner. Il sera fait ainsi, je vais annoncer à Mila et Nazélie leur départ.
– Encore une chose, vous m’avez dit avoir enfermer au cachot la personne pouvant l’aider ? De qui parler vous ?
– Le commandant des armées.
– En quoi pourrait-il aider Mila ?
– Sont armée lui est loyale, je sais que s’il en fait la demande, l’armée le suivras en grande partie, Mila pourras reprendre sa place sur le trône. Je sais par des espions que la majorité du peuple n’est pas content que j’ai pris la place de Mila et ils laisseraient faire si un soulèvement était organisé. J’ai fait enfermer le commandant dans les cachots du château et j’ai mis aux arrêt la garde royale, tous les hommes présents dans ce château pour ma garde personnel ont été trier et sélectionner, je n’ai pas confiance.
– Pourquoi ne pas le tuer tout simplement ?
– Il m’as manqué de respect et m’as tenu tête, j’ai préféré l’enfermer dans un cachot oublier, nous ne lui donnons qu’un peu d’eau et de nourriture tous les jours, juste pour le tenir en vie, je descends le voir tous les soirs. Quand je vois sont état se dégrader je ressens comme une jouissance intérieure.
– Il m’avait bien dit avoir ressentis le mal en toi mais je ne m’attendais pas à tan. Au moins il verra le monde sombrer et il verra son royaume raser et en sang. Envoie-moi ces garces au plus vite voir Argos, elles n’arriveront pas jusqu’au château de Zenovich.
Amon ne tarda pas à convoquer Mila et Nazélie dans cette même pièce où il c’était entretenu avec Zolménia. Amon les a convaincus de partir pour Zenovich en leur disant que le roi Argos les soutenait et il préférerait sans doute mieux recevoir le présent d’elle que de lui. Elles acceptèrent en se disant que sa leur feraient de bien de changer d’air, elle ne supportait plus de rester enfermée dans ce château, elles en avaient besoin. De plus Argos était très fidèle à Alan, Mila et Nazélie avaient en tête de lui demander de les accueillir et de ne jamais revenir au château tant que Amon était toujours au pouvoir, elles avaient toujours en tête de trouver un moyen de le détrôner.
Le départ était prévu quatre jours plus tard durant la nuit pour ne pas attirer l’attention, Amon avait prévu d’offrir une statue de la taille d’un homme en argent qui avait été ramenée des Indes. Mila et Nazélie ont charger le chariot avec un maximum de leurs affaires, des vêtements et des biens auquel elles tenaient, le tout discrètement sans que Amon ne se rende compte de quoi que ce soit. Mila avait également prise avec elle l’arc de son père ainsi que son armure, elle savait au fond d’elle qu’un jour elle pourrait lui être utile, elle a également prise sont épée.
Leur voyage a été organiser par Amon, il a décidé de faire voyager les deux femmes clandestinement, elles voyageraient comme ils avaient l’habitude de le faire dans le grand royaume, un simple chariot pas très voyant. Accompagner du chariot une dizaines de cavaliers habiller de longue tunique en tissu brune, en dessous une armure légère, a première vue tout le monde les auraient pris pour des marchands.
Le soir avant le départ un homme est arriver au château, grâce à sa fonction et a ces contacts l’homme est entrer assez facilement, il est arrivé jusqu’à l’entrée de la chambre de Mila. Il frappa à trois reprises à la porte, Mila ouvrit la porte quelques seconde après, plus aucun garde n’était poster devant sa porte, Amon ne pensais pas que cela était nécessaire, après tout elle n’avait plus aucune valeur pour le royaume, elle n’était plus rien.
– Bonsoir ma reine, je suis désolé de vous déranger mais je dois absolument vous parler.
– Je ne suis pas votre reine et vous ne fait pas partie du château, si ? Je ne me souviens pas de vous.
L’homme était habillé de vêtements simples en tissu, il était plutôt grand et musclé, il semblait avoir une quarantaine d’année.
– Pour moi vous l’êtes, ce n’est pas parce que le conseiller vous a voler le trône que vous ne l’êtes pas.
– Vous n’êtes surement pas du château si vous êtes contre Amon dit-elle en souriant.
– Non en effet, je peux entrer ? Je sais que ça ne se fais pas d’entrer dans la chambre d’une jeune fille mais je suis entré ici discrètement et je n’ai pas envie d’être vu par une patrouille.
– Très bien, entrer et fermer la porte derrière vous, sachez toutefois que je suis armée.
L’homme entra et ferma la porte derrière lui discrètement.
– Vous n’avez pas à vous en faire, je ne vous veux aucun mal. Je suis le capitaine Peacy, j’ai été comment dire, mis à l’écart de mes hommes, j’étais là des capitaines de la garde royale.
– Je comprends mieux pourquoi vous êtes contre Amon maintenant, mais cela n’explique pas ce que vous faite dans ma chambre ?
– Vous savez que le commandant d’armée a disparu quelques jours après la montée de Amon sur le trône.
– Oui, vous avez des informations sur lui ? Vous savez ou il se trouve ?
– Oui, enfin je crois que oui mais je n’en suis pas certain. En fait j’ai quelques amis qui sont encore présent au château et une rumeur cours en dehors des murs du château et je pense que ces rumeurs sont à vérifier.
– Quel est cette rumeur ?
– Il est dit que le grand commandant se trouve enfermer dans un des cachots du château, qu’il ne serait jamais parti d’ici comme les gens le disent et qu’il n’aurait jamais fui.
– Vous en êtes sur ? Lui demanda Mila d’un ton énerver.
– Ce sont des rumeurs mais qui reviennent assez souvent, je suis venu vous voir car je sais que vous étiez une de ces élèves et une amie, de plus vous êtes la mieux placée pour vérifier cette rumeur. Toutefois je ne veux pas vous mettre en danger.
– Ne t’inquiète pas capitaine Peacy, je vais aller vérifier cette nuit, les cachots ne sont plus utilisés depuis plusieurs années, je verrais si le commandant d’armée s’y trouve et si c’est le cas je le libèrerais.
– Je vous remercie ma reine, vous savez le capitaine est un homme bon, il ne mérite pas de finir comme ça.
– C’est moi qui vous remercie, sans vous je ne me serais jamais douter qu’il avait pu être enfermer dans les cachots du château, comment puis-je vous contacter ?
– Je peux revenir vous voir, j’utiliserais le même procédé que ce soir et je viendrais ici.
– Je pars demain durant la nuit, j’irais voir d’ici deux au changement de garde, venez demain à la même heure, je vous dirais ce que j’ai pu apprendre.
– Merci ma reine, je vais y aller avant que quelqu’un ne se rende compte de ma présence dans le château. A demain.
– A demain capitaine, faite attention à vous.
L’homme la saluât et ressortit de la chambre de Mila discrètement. Elle n’en croyait pas ces oreille, Amon était un vrai monstre, comment pouvait-il faire sa impunément. Elle savait que Amon avait écarter la garde royale par peur des représailles, mais elle ne se serait jamais doutée de ce qu’elle avait pu faire au commandant même si ce n’était pas le genre du commandant de fuir comme Amon disait qu’il l’avait fait.
Mila sortit de sa chambre comme elle l’avait dit au capitaine, elle traversa les couloirs du château en étant la plus discrète possible, les cachots se trouvait en bas de plusieurs escaliers, pour y accéder elle devait passer par la salle principale où se trouvait le trône. Elle n’a eu aucun mal de traverser sans se faire voir, à cette heure-là presque aucun garde n’était présent, de plus le changement de garde était en cours et rien d’étonnant que Mila ne se balade dans le château. La porte en bois qui menait à l’escalier n’était pas verrouillée, elle emprunta les grands escaliers en pierre sans un bruit, des torches étaient allumée, elles n’étaient plus jamais allumées du fait que les cachots n’étaient plus utilisés. La rumeur commençait à prendre une forme réelle. Une fois arriver en bas de l’escalier en pierre, elle est arrivée dans la grande pièce principale où se trouve le poste de garde, deux hommes étaient en train de jouer aux dés éclairer par une bougie, la porte menant aux cellules était fermée. Mila ne pouvait pas aller plus loin sans se faire voir des deux gardes, elle ne pouvait pas vérifier la présente du commandant mais une chose était certaine, quelqu’un était présent dans les cachots, sinon aucun intérêt de les faire garder. Elle décida de retourner dans sa chambre aussi discrètement qu’a sa première traversée.
Le lendemain matin elle expliqua la situation a Nazélie, elle non plus n’en croyait pas ces oreilles, elles prirent une décision toute les deux, elles ne pouvaient pas laisser le commandant dans les cachots si c’était bien lui qui s’y trouvait. Elles ont réfléchi à un moyen de sortit le commandant de la, elles devaient le faire sans se faire voir et elles devaient réussir à berner les deux gardes poster devant la porte des cachots et leur dérober la clé de la porte.
Le soir, à la même heure que le soir précédent, Peacy arriva et frappa à trois reprises à la porte de Mila, elle le fit entrer. Nazélie était également présente, Mila lui expliqua ce qu’elle avait vu et qu’elles allaient libérer le commandant, durant la nuit elles allaient partir pour Zenovich et allaient en profiter pour faire sortir le commandant du château par la même occasion. Peacy lui proposa de l’aider pour sortir le commandant, elle accepta mais refusa de tuer les gardes, ils allaient opérer en silence et les neutraliser sans les tuer.
Mila passa un grand manteau noir et prit une buche de bois qui était posée à côté du grand feu de sa chambre, Peacy quant à lui ne prit rien, il affirma à Mila que ces poings feraient l’affaire et qu’il trouverait se dont il allait avoir besoin sur place. Ils se faufilèrent tous les deux dans les pièces du château sans se faire voir, la porte menant à la prison du château était ouverte comme le soir précédent, ils descendirent tous les deux le grand escalier. Devant eux se trouvaient trois gardes, ils étaient en armure légère et ne portaient pas de casque, ils étaient en train de jouer aux dés, c’était la chance de Mila et Peacy, ils allaient pouvoir entrer en action sans se faire voir par les gardes, leur attention étaient ailleurs.
Ils se sont approchés d’eux chacun d’un côté de la pièce en silence, Mila se rua sur le premier et lui écrasa la buche sur la tête, le garde tombas la tête la première sur la grande table en bois, sa tête fit un énorme bruit en heurtant la table.
Peacy quant à lui fonça sur le second garde au même moment, il attrapa une des épées posées contre la table et frappa très fort la tête du garde en face de lui avec le plat de la lame pour ne pas le tuer. Il tomba au sol, le dernier garde n’as pas eu le temps de voir ce qui c’était passer, l’action avait été si rapide et efficace qu’il se leva surpris de voir c’est frères d’arme assommer au sol, il aperçut Mila et Peacy sans pouvoir les distinguer sous leurs grands manteaux noirs.
Peacy lui lança l’épée avec laquelle il avait assommer le second garde, l’homme l’attrapa, Peacy en profita pour foncer dans sa direction et l’attraper par le cou tout en se faufilant derrière lui. Ils tombèrent tous les deux en arrière, Peacy seras de toute c’est force le cou de sa cible et a peine quelques seconde après le garde semblait mort, il ne résistait plus et ne bougeais plus.
– Je vous avais dit de ne pas les tuer lui cria Mila.
– Il n’est pas mort, juste endormir, ne vous inquiétez pas ma reine, la clé pendue en mur, prenez-la et libérer le commandant. Moi je m’occupe d’attacher nos amis et nous les enfermerons dans les cellules, sa vous permettra de sortir du château et d’être à bonne distance avant qu’ils ne s’aperçoivent de quoi que ce soit. La garde a déjà été relevée, tout est en notre faveur, profitons en dit-il en attrapant le premier garde coucher au sol.
Mila prit la clé pendue au mur et ouvrit la grande porte en bois, elle entra dans la pièce, toutes les cellules étaient grandes ouverte sauf la dernière se trouvant au fond de la grande salle. Un homme était coucher au sol a moitié nu, il n’avait que quelques morceaux de tissu en charpie pour s’habiller, la salle était très froide et humide, des rats couraient un peu partout déranger par le bruit. Elle courra devant la cellule, elle ne savait pas si c’était bien le commandant, elle ne pouvait pas très bien le voir, il était couché contre le mur dans l’ombre, elle ne savait même pas si la personne était encore en vie, elle ouvrit la grande porte en acier de la cellule. Lorsqu’elle l’ouvrit la porte grinça, l’homme se retourna et se leva tellement vite que Mila n’eut le temps de réagir, il se rua vers elle et l’attrapa par le cou, quand l’homme aperçus le regarde de Mila il la lâcha en s’excusant et recula en trébuchant, il tomba contre le mur de la cellule.
Mila était soulagée, c’était belle et bien le commandant et il était en vie, il était beaucoup plus mince, il semblait affamer et assoiffé, il n’arrêtait pas de s’excuser d’avoir attrapé Mila par le cou.
– Je suis désoler ma reine, je ne savais pas que c’était toi, je suis désolé Mila, vraiment désoler.
– Je ne vous en veux pas commandant, que vous ont-ils fait ?
– Ce salaud de Amon, il m’a fait enfermer car j’étais contre lui.
– Commandant cria Peacy en arrivant derrière Mila, je suis content de voir que vous êtes en vie, j’ai attaché nos amis continua t’il en regardant Mila. Nous n’avons pas de temps à perdre commandant, venez avec moi lui dit-il en l’aidant à se lever. Je vais enfermer les gardes que nous avons assommer dans la cellule, Mila vous devez retourner dans votre chambre avec le commandant et suivre notre plan, je m’occupe d’eux, je vous rejoins une fois terminer.
– Très bien, allons-y. Lui répondit Mila.
– Peacy ? Que faite vous ici ? Lui demanda le commandant intrigué.
– La même chose que notre reine commandant, je viens vous libérer, ne perdons pas de temps insista t’il.
– Merci capitaine, je suis fière d’avoir eu sous mon commandement des hommes aussi bon et fidèle que vous.
– Mais vous m’avez toujours sous votre commandement et je ne suis pas le seul je vous assure, beaucoup d’entre nous sont toujours avec vous croyez-le.
Il aida le commandant à sortir jusque dans le hall d’entrée du château, le commandant avait un peu de mal à marcher mais il se débrouillait. Peacy redescendit dans la prison du château pour terminer son travail tandis que Mila et le commandant rentrèrent dans la chambre de Mila en restant discret, par chance ils n’ont rencontré personne dans les grands couloirs. Mila n’aurait pas su comment expliquer qu’elle se baladait avec un homme a moitié nu, une fois arriver dans la chambre Nazélie semblait contente de voir le commandant vivant. Elle lui donna de la nourriture et de l’eau, le commandant se rua sur la nourriture en s’excusant de son comportement.
– Ils ne vous nourrissaient pas ? Lui demanda Nazélie.
– Non, enfin si mais le strict minimum, juste de quoi me tenir en vie, Amon n’avait qu’un objectif, me détruire lentement et le voir.
– Cela va à l’encontre de toutes nos lois continua Nazélie, tout prisonnier mérite d’être traité comme un homme et d’être nourrit comme il se doit, peu importe sont crime.
– Nous pensions réellement que vous aviez fui comme on nous l’avait dit, même si nous ne connaissions pas ce côté de votre personnalité, nous n’aurions jamais pu croire qu’Amon aurait pu faire sa dit Mila.
– Je vous comprend Mila, je sais qu’Amon est quelqu’un de mauvais mais jamais j’aurais cru qu’il était capable d’une t’elle chose. Je dois partir d’ici, je ne peux rester dans le château, si Amon apprend ma disparition il va faire fouiller tout le royaume pour me retrouver et s’il apprend que vous m’avez aidé je ne donne pas cher de vos vies, il n’a plus aucun intérêt de vous garder ici.
– Nous partons cette nuit pour Zenovich, Amon nous a demander d’apporter un cadeau pour l’anniversaire du roi Argos, on va en profiter pour vous faire sortir, nous aurons une escorte mais ma mère à trouver une solution pour vous commandant.
– Ah oui et laquelle ? Lui demanda intriguer le commandant.
– Ceci dit Nazélie fière d’elle en montrant un énorme coffre en bois, tu risques d’être un peu à l’étroit mais une fois sortit de la ville nous te ferrons sortir de là-dedans et vous viendrez avec nous a Zenovich, Argos à voter en notre faveur, je suis sûr qu’il pourrait nous aider, c’est un homme bon.
Le commandant se mit à rire dans sa barbe.
– Eh bien Nazélie, vous êtes pleine de ressource, je comprends pourquoi Alan vous as choisie dit-il en souriant.
Quelqu’un frappa à trois reprises à la porte de la chambre, Mila s’en approchât, c’était Peacy qui était revenu.
– Les gardes vont passer une belle nuit dans votre cellule, commandant, je vois que vous êtes bien accueillis auprès de nos deux reines dit-il en s’approchant du commandant.
– En effet dit le commandant en se levant.
– Je vais devoir partir avant que quelqu’un ne s’aperçoive de la disparition des gardes et de m’a présence ici, quel est votre plan commandant ? Une fois sortit de la ville.
– Vous pourriez nous rejoindre à la sortie de la ville Peacy, ensuite nous ferons un bout de chemin ensemble, je compte retrouver les hommes qui me sont encore fidèle et avec eux me battre contre Amon du mieux que je peux pour soutenir Mila.
– Je vais pouvoir vous aider en effet alors commandant, une partie de ma légion est toujours à m’es côté, nous avons fui lorsque Amon a pris le pouvoir, mais les hommes vous sont toujours fidèle et attendent votre retour. Bien sûr nous n’avons plus rien d’une légion, nous sommes à présent considérer comme des traitres, des rebelles mais nous savons toujours nous battre dit-il souriant.
– Parfait continua le commandant, pouvez-vous les réunir au plus vite ?
– bien sûr, le temps de vous remettre et moi de mon côté les réunir, nous pouvons nous rejoindre à minuit dans sept jours tout pile à l’auberge rouge, celle qui se trouve en ville a Zenovich, vous la connaissez ?
– Oui.
– Je vous retrouverais là-bas alors commandant, je vous emmènerais auprès de nos hommes, je dois y aller, a dans sept jours commandant, faite attention à vous surtout et protéger bien nos reines.
– Je ferais de mon mieux capitaine, faite attention à vous également et merci, je vous en serais éternellement reconnaissant de tout ce que vous faite pour nous.
Peacy sorti ensuite de la pièce en regardant que personne ne se trouvait dans le couloir, il disparut ensuite derrière la porte en la fermant derrière lui.
– Très bien dit Mila, il ne nous reste qu’une chose à faire dit-elle en donnant des vêtements au commandant, une fois que vous serez prêt nous feront emmener la malle avec vous dedans pour la mettre dans notre convoie, nous n’allons pas tarder à partir pour Zenovich.
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Sam 14 Mar - 0:32
Chapitre 3
Une alliance honorable.

Une fois changer et après avoir terminé son repas le commandant c’est mis dans le grand coffres que Nazélie avait préparer pour lui. Nous avons fait porter le coffre dans notre chariot, personne n’avait encore trouver les gardes que nous avions enfermer. Amon est venu nous souhaiter un bon voyage juste avant que nous démarrerions pour aller jusqu’à Zenovich. Nous étions bien escortés, nos gardes étaient peu armés et avait des armures légères pour se faire passer comme prévu pour des marchands tout comme nous. Notre convoie à démarrer vers minuit trente, a peine une heure après nous étions sorti de la ville, le commandant est sorti discrètement du coffre, nous avons marché toute la nuit, nous en avons profiter pour dormir un peu.
Le lendemain matin nous marchions toujours lorsque nous nous sommes réveillés, le convoi évitait les villes et villages, nous avions assez de nourriture et d’eau pour le voyage, nous nous arrêtions très peu, la nuit était consacrée à avancer. Les gardes se reposèrent en journée durant un grand arrêt que vous faisions tous les jours en forêt, personne n’avait vu que le commandant était avec nous. Le pauvre, après avoir été enfermer dans une cellule de prison, il était à présent enfermer dans notre chariot sans pouvoir en sortir.
Durant la troisième nuit de voyage, j’ai été réveillée par plusieurs bruits, des sifflements rapides passait tout autour de nous. Maman semblait inquiète et demandais ce qu’était les bruits, des chevaux criaient, nous entendions des bruits lourds. Le commandant écouta attentivement durant quelques secondes.
– Ce sont des flèches nous dit-il, nous sommes attaqués.
Nous avons ensuite entendu un cri, l’un de nos gardes hurla aux hommes de se mettre à couvert et de se préparer au combat. Ensuite plusieurs cris retentirent tout autour de nous, des hommes hurlaient de douleur, nous entendions des bruits de métal qui s’entrechoquaient.
– Mila, tu as une épée ici ? Je vais les aider.
– Oui oui, j’ai mon épée et celle de mon père lui répondis-je en ouvrant une caisse contenant les armes.
Je pris celle de mon père que je donnai au commandant, je pris également la mienne.
– Reste ici me dit-il, ne risquons pas que tu sois blessée dit le commandant.
– Non commandant, nos hommes se font tuer, je me dois de les aider et une épée de plus seras toujours utile.
– Très bien, fais attention à toi et tu restes derrière moi, Nazélie rester enfermée dans le chariot et n’ouvrez à personne.
– D’accord, fait attention à toi ma fille, je ne supporterais pas de te perdre nous dit-elle d’un ton énerver.
– Ne t’inquiète pas maman, reste enfermée comme le commandant te la dis.
Le commandant est sorti du chariot, je l’ai suivi de prêt en fermant la porte derrière moi. Nos hommes étaient en train de se faire massacrer, ils étaient assaillis de toute part par des hommes habiller avec des armures en cuir et de grande cape.
Le commandant fonça vers l’un de nos ennemis dos à nous et lui enfonça sont épée dans le dos, il sorti l’épée de son dos en poussant avec son pied le cadavre. Trois hommes foncèrent vers lui, ils tombèrent presque aussitôt au sol, le commandant avait balayer l’air avec son épée coupant la gorge de c’est trois adversaires d’un coup. L’un des ennemis cria à un autre.
– Ils nous avaient dit que nous aurions à faire a des recrues, celui la sait se battre, foncer dessus !
Le commandant était pris à partie par une dizaine de soldats, les autres continuèrent de massacrer nos soldats, il n’en restait qu’une ou deux encore debout, les autres blesser étaient égorger sans hésitation.
Je fonçai dans le dos d’un des adversaires du commandant et je lui enfonçai mon épée dans le dos, elle la transpercer sans aucune difficulté, comme si l’homme n’était qu’un morceau de beurre. J’ai ensuite enlevé mon épée et j’ai coupé la tête a un second qui fonçait vers moi, le commandant avait neutralisé plusieurs de ces adversaires.
Celui qui semblait être le chef courut dans la forêt suivis de deux autres de ces hommes, j’ai tué un troisième homme d’un coup d’épée dans le ventre. Le commandant coupa l’avant-bras de son dernier adversaire et d’un coup net lui coupa la tête qui roula à ces pieds, le corps sans vie de l’homme resta quelques secondes debout avant de s’écraser au sol.
Soudain nous avons entendu un cri de femme, c’était le cri de ma mère, elle était derrière nous, le chef, celui qui avait fui dans la forêt la tenait par la gorge devant lui. Sur sa droite et sa gauche se trouvait c’est deux hommes qui avaient fui avec lui.
– Vous allez comprendre votre douleur, vous n’auriez pas dû abattre mes hommes comme vous l’avez fait dit-il en rigolant.
La seconde d’après j’aperçus l’épée de l’homme sortir par la poitrine de ma mère, un filet de sang coula sur sa robe, elle tomba à genou et me regarda les larmes aux yeux.
Le commandant fonça vers le chef tandis que c’est deux hommes foncèrent vers lui, il les tua d’un coup net chacun sans ralentir sa course, le chef ennemis surpris se retourna et courut dans la forêt à nouveau, le commandant la suivis sans se retourner.
J’ai couru vers ma mère, je l’ai prise dans m’es bras, elle pleurait et avait du sang qui coulait de sa bouche, elle essayait de me dire quelques choses.
– Je… suis… dé..désol..ée ma fille, tu d… ois etre fo… rte.
Elle ne dit ensuite plus rien, elle me regardait toujours, elle était morte, je lui ai fermer les yeux.
– Maman, non maman, ne meurt pas maman…
Les larmes m’aveuglaient, je ne pouvais pas perdre ma mère, pas maintenant, pas aussitôt après avoir perdu mon père, je n’y survivrais pas, que pourrais-je faire seul.
– Lève toit Mila, nous ne devons pas perdre de temps, nous devons partir, ils ont peut-être des renforts plus loin qui arrive.
J’ai relevé la tête, je me suis frotter les yeux, le commandant était face à moi, il tenait la tête du chef ennemis par les cheveux, il la laisser tomber avant de s’approcher de moi et de me prendre par le bras pour me relever. Juste avant j’ai susurré à l’oreille de ma mère que je l’aimais et je lui ai promise que je la vengerais. Tous nos hommes avaient été sauvagement tuer par ces hommes venus de je ne sais où.
Le commandant m’a soutenue durant notre fuite, nous avons traversé durant le reste de la nuit la forêt. Nous ne nous sommes pas arrêtés, j’étais fatiguée, je n’en pouvais plus, le commandant semblait infatigable, il ne m’a rien dis de plus que ce qu’il m’avait dit lorsqu’il ma relever, il semblait froid, il était différent de ce que je connaissais de lui. Lorsque le jour commença à se lever il m’a dit d’attendre contre un arbre, qu’il revenait tout de suite. J’étais adossée à l’arbre, tout semblait silencieux autour de moi hormis les chants des oiseaux qui réveillaient la forêt endormie, le soleil commençait à percer au-dessus des arbres, qui aurait pu penser que cette nuit avait été aussi sanglante. Je n’arrivais toujours pas à croire que maman était morte.
Soudain j’ai entendu des bruits de branche craquer, je me suis relevée l’épée a la main, le commandant est apparu devant moi.
– Calme toi Mila, c’est moi, range-moi ton épée. Nous sommes proche d’un village que je connais bien, nous allons y aller, de là nous prendrons le temps de réfléchir après une bonne nuit de sommeil, nous sommes à bout tous les deux.
– Ils risquent de nous reconnaitre si nous allons dans le village, c’est pour ça que nous les évitions avec le convoi.
– Ne t’inquiète pas, c’est un tout petit village de pécheur, ils savent qu’ils sont gouvernés mais ils ne reconnaitraient pas le roi. Ils sont plutôt isolés.
– Tu as dit que tu connaissais ce village, comment cela se fait-il ?
– Eh bien avant de faire mes classes dans l’armée du royaume je vivais ici, qui aurait cru que le commandant d’armée était un fils de pécheur dit-il en souriant.
Il s’approcha ensuite près de moi et me prit la main avant de reprendre la parole.
– Mila, je suis désolé pour Nazélie, j’aurais dû la protéger, j’ai failli, je te demande pardon.
– Non, tu t’es battu pour nous sauver, ces brigands en ont profité pour attraper maman pendant le combat, nul n’aurait pu la sauver. Ils étaient décidés à la tuer pour se venger, ils n’avaient aucun honneur.
– Allons-y, ne trainons pas dit-il au bout de quelques secondes.
Nous sommes partis en direction du nord Est, nous avons marché durant quelques minutes avant d’arriver le long d’une rivière, plusieurs petites maisons en bois était construite sur la rives. Plusieurs hommes péchaient dans la rivière, un peu plus loin se trouvait d’autre maison en bois dans un meilleur état. Nous avons encore marché pendant cinq minutes jusqu’à arriver face à une autre de ces petites maisons en bois, elle ne semblait pas habitée, hautes herbes avaient recouvert la porte d’entrée. Le commandant a alors sorti son épée pour couper les herbes afin d’atteindre la porte, il a pris une clé cachée sous un gros cailloux poser à côté de la porte de la maison. Il a ouvert la porte et m’as invitée à rentrer avec lui, l’intérieur était poussiéreux, des draps blancs étaient poser sur les vieux meubles en bois, le commandant a ouvert les volets pour faire entrer un peu de lumière dans la pièce.
– Eh bien je suis désolé Mila, je n’ai pas mieux à te proposer mais bienvenu a Norwey, mon village, ici c’était la maison de mes parents, nous serons tranquilles.
– Ne t’en fais pas commandant, c’est parfait, ici nous ne risquons rien. Ou vivent t’es parents maintenant ?
– Ils sont mort quelques jours avant que j’entre dans l’armée du royaume.
– Je suis désoler.
– Ne t’en fais pas, reste ici, je vais chercher de quoi manger et boire, essaye de te reposer un petit peu.
Le commandant est sorti de la maison et a disparu dans les hautes herbes, j’ai enlevé les draps blancs qui se trouvaient sur les meubles. Je me suis assise sur une vieille chaise à bascule, elle était faite d’un bois très robuste, je me suis balancée durant quelques minutes avant que mes yeux ne se ferment, je ne m’en étais pas rendu compte mais j’étais à bout de force, je n’en pouvais plus.
Quand j’ai ouvert les yeux il faisait nuit, le commandant avait allumer un feu dans la petite cheminée en pierre, une grande casserole était posée sur une grande plaque d’acier au-dessus du feu.
– Tu as bien dormi ? Il y a de l’eau la si tu veux, le repas est bientôt cuit me dit le commandant.
– J’ai dormis toute la journée ? Lui demandais-je étonnée.
– Oui, tu en avais besoin, j’espère que tu aimes le poisson et les pommes de terre, car ici nous n’avons pas grand-chose de plus.
– Je suis affamée, j’avalerais n’importe quoi je pense.
Le commandant avait fait le ménage, tous les draps blancs avaient été enlever et la poussière avait été frottée, le sol était également propre, il avait balayé les vieille herbes et feuille morte qui étaient dans la maison. Le commandant c’était également changer, il avait passé un pantalon en toile et une chemise blanche en coton.
– C’est tout propre ici.
– Oui, j’en ai profité pour faire un peu le ménage, sa faisait au moins douze ans que je n’étais plus venu ici, j’espérais bien que la maison était toujours là. Nous allons manger, ensuite tu pourras te laver et te changer, il y a de l’eau dans la chambre que tu peux chauffer sur le feu et j’ai mis des vêtements pour toi sur le lit.
Il prit la casserole posée sur la grande plaque d’acier et la posa sur la grande table en bois, quand il a ouvert le couvercle j’ai senti une bonne odeur qui a envahi la pièce, il a pris une grande louche en bois et a remplis deux assiettes. Nous nous sommes assis et avons manger, c’était délicieux.
– Je ne savais pas que le grand commandant d’armée était aussi bon cuisinier, dis-je en souriant.
– Ce n’est pas grand-chose, juste un peu de poisson griller avec des pommes de terre aromatisée.
Nous avons terminé le repas, je me suis ensuite dirigée dans la chambre que le commandant m’avait préparée, je me suis lavée et changée. J’ai passé une robe assez simple en lin, elle devait appartenir à la mère du commandant. Je suis ensuite revenu dans la pièce principale, le commandant était assis sur le sol face à la cheminée, je me suis assise à coter de lui.
– Merci pour la robe, commandant.
– Ténélos.
– Pardon ?
– Ténélos, je m’appelle Ténélos.
– Je ne savais pas.
– Peu de gens connaissent mon vrai nom dans le royaume, une fois que l’on a un titre les gens nous nommes par celui-ci.
– Qu’allons-nous faire maintenant ? Lui demandais-je un peu perdue.
– Demain matin nous prendrons la route pour Zenovich, nous aurons une longue journée de marche, nous nous arrêterons dans une auberge et nous reprendrons la route à nouveau. Nous devrions arriver durant la nuit au château.
– Comment se fait-il qu’autant de brigands nous aie attaquer en même temps et pourquoi les gardes se sont fait avoir si facilement.
– Les hommes se sont fait massacrer, ils n’avaient aucune expérience, de plus j’ai entendu le chef de nos ennemis dire que sa devrais être simple, il ne devait avoir que des recrues comme ennemis. Ils savaient qui nous étions, de plus les brigands n’en étaient pas, sur leurs capes il y avait des écussons, je les connais, ce sont deux poignards qui se croise. Ils faisaient partie d’une guilde d’assassins, les renégats, j’ai déjà eu affaire a eu.
– Des recrues ? Pourquoi Amon nous aurait assigner des recrues, ça n’a pas de sens… enfin si mais je préfère ne pas y croire.
– Je pense que si, j’ai des doutes sur Amon, après ce qu’il m’a fait, il en serait capable.
– Et les assassins ? Ce sont, les même que ceux qui ont voulu tuer mon père lors de mon anniversaire ?
– Je ne pense pas non, par contre sa se peut qu’il ait été envoyer par Amon également.
– C’est Amon, plusieurs convoient ont été envoyer pour brouiller les pistes, ça m’étonnerait qu’ils aient envoyer autant d’assassins pour chaque convoie.
– Je le tuerais de mes propres mains, j’aurais déjà dû le faire depuis longtemps, Nazélie serait toujours en vie aujourd’hui.
– Non Ténélos, nous avons agis de la bonne manière, nous n’aurions rien gagner à l’assassiner, nous devons lui reprendre le trône a la loyale. Tu crois que Argos nous accueillera ?
– Oui, c’est un homme d’honneur, je n’ai aucune crainte sur sa loyauté, nous serons en sécurité au château. Par contre nous devrons y entrer sans nous faire voir, Amon a sans doute des espions un peu partout dans tout le royaume, c’est un homme fourbe.
– Nous devrons être très prudent.
J’ai vu que Ténélos semblait fatiguer, il n’avait pas eu beaucoup de temps pour se remettre de ces aventures dans la prison du château et de la bataille qui a suivie.
– Ténélos, tu devrais dormir un peu, tu dois être en forme pour demain matin, moi avec la sieste que j’ai faite, je ne suis pas fatiguée. J’ai vu une bibliothèque dans la chambre, je pense que je vais un peu lire à la lueur d’une bougie avant de dormir à mon tour.
– Tu as sans doute raison Mila, je vais me reposer, demain nous prendrons la route très tôt après un bon petit déjeuner.
Le commandant s’endormit rapidement, il essayait de le cacher mais il était très fatigué, Mila quant à elle s’endormit après avoir lu une centaine de pages sur l’histoire d’un couple hanté par une vieille sorcière.
Pendant ce temps au château, Amon s’entretien avec Zolménia sur la réussite de l’attaque des assassins.
– Comment as-tu pu rater ta mission, elle était pourtant simple hurla Zolménia.
– Je ne comprends pas, leur escorte était composée de recrue, ils étaient moins nombreux que les assassins et l’escorte n’avait pas beaucoup d’armes, ils voyageaient léger.
– Je ne sais pas pourquoi mon père ta fais confiance et ta donner cette place, tu es un incapable.
– Je n’ai eu aucune information, hormis que tous les assassins ont été tuer ainsi que l’escorte au complet, la reine Nazélie a été tuée, mais aucune trace ce Mila.
– Mila, Mila, cette Mila, c’était belle et bien Mila que tu devais faire tuer, les autres n’avaient aucun intérêt. C’est une si bonne guerrière que sa ou elle a fui ?
– Elle a suivi un entrainement militaire depuis quel est très jeune, mais je ne crois pas qu’elle aurait pu vaincre autant de soldats seuls. Je crois que la seule solution était que le commandant était avec elle.
– Le commandant ? Celui-là même que je t’avais ordonné de tuer ? Comment serait-ce possible ?
– J’ai appris son évasion le lendemain matin du départ de Mila et Nazélie par la garde, ils ont été neutraliser et enfermer dans sa cellule, je pense que Mila a fait en sorte de le libérer et elle la fait sortir de la ville grâce à l’escorte. Je ne vois que ça, lui aurait pu tuer dix hommes sans même être essouffler, c’est un grand guerrier.
– Que va-t-elle faire maintenant ? Ou pourrait-elle aller ? A qui pourrait-elle demander de l’aide ?
– Je ne sais pas, elle ne doit pas connaitre grand monde hors du royaume, par contre le commandant lui aurait possibilité de lui apporter son soutien et son aide.
– Comment ça ? Comment pourrait-il l’aider alors qu’il était encore prisonnier il y a peu de temps au château.
– J’ai évincer le commandant ainsi que ces hommes les plus fidèle, je savais que sa garde royale lui serait rester fidèle, peu importe ce que je pourrais dire ou faire. J’ai donc fait abattre certain d’entre eux, d’autre l’ont appris et se sont enfuit. Plusieurs de m’es espions m’ont confirmé que des groupes d’ancien de l’armée royale ce sont réunis, mais personne ne connait leurs projets. D’autre de l’armée régulière ont déserter et les ont également rejoints.
– Vous n’êtes vraiment pas aimer de votre pays dit-elle en rigolant, sa se comprend après tout. Donc nous parlons de combien d’homme approximativement ?
– Je dirais trois ou quatre mille, je n’ai pas de chiffres plus précis que ceux-là.
– Très bien, très bien dit-elle en réfléchissant. Peu importe, une broutille sur notre chemin, nous les balayerons de nos armées.
– bien sûr mais j’ai bien peur qu’ils ne réussissent à rallier plus d’hommes à leur cause. Si le reste du royaume apprend tout cela, ils risquent de s’insurger contre moi.
– Peu importe, ce n’est qu’une question de temps pour que notre pouvoir soit assez puissant que pour raser toute âme vivante de ce monde. Nous allons toutefois agir, envoyer des missives au douze rois, explique-leur qu’une partie de ton armée a déserté sans raison et a décidé d’entreprendre une croisade contre toi, condamne chacun de c’est déserteur est mort. Fais envoyer des espions partout dans les douze royaumes, nous avons les notre également qui pourront nous aider, une fois que nous connaitrons leur position, nous les anéantirons tous sans exception. Fais également dire que Mila à tenter de vous tuer durant votre sommeil et qu’elle a échouer, elle s’est ensuite enfuie et vous n’avez pu la retrouver, fais-la condamner à mort également, sans procès par les douze.
– Je… je fais envoyer une missive dès cette après-midi, mais pensez-vous vraiment que les douze croiront cette histoire ?
– Vous êtes leur roi, le roi des rois me semble-t-il, s’ils ne vous croient pas, ils ne sont pas dignes d’être dans votre royaume. Préciser dans votre missive que toute aide fournie à l’un de c’est déserteur ou à cette Mila seras condamnable de mort par votre royaume.
Amon semblait songeur, il ne dit plus un mot et se dirigea vers son grand bureau en bois, il s’assit et commença à rédiger la missive qu’il allait envoyer cette après-midi-là.
Le lendemain matin quand Mila a ouvert les yeux, le soleil entrait dans sa petite chambre par une fenêtre a peine obstruée de l’extérieur par les hautes herbes. Elle a mis plusieurs minutes avant de se décider de se lever, quand elle est entrée dans la salle principale, elle était vide, elle s’attendait a voir le commandant. Elle vérifia également sa chambre, il n’y était pas, elle décida de sortir prendre un peu l’air. Le soleil était déjà bien haut dans le ciel et Mila sentait la chaleur des rayons de soleil sur sa peau. Elle se sentait bien malgré tous les évènements qui c’était dérouler c’est dernière semaine, ainsi que la perte de sa mère. Mila décida d’avancer un peu vers la rivière, elle semblait assez profonde et l’eau était très tellement clair que l’on pouvait apercevoir les poissons nager dans le fond. Elle est restée la debout durant plusieurs longues minutes à écouter l’eau et les oiseaux chanter.
– Tu prends un bain de soleil ? Lui demanda Le commandant derrière elle.
– Ténélos ! Ou étais-tu ? Dit-elle souriante.
– J’ai été chercher de quoi déjeuner et j’ai emprunter quelques pièces d’argent, nous allons en avoir besoin.
– Emprunter de l’argent ? C’est vrai que nous n’en avons pas pris avec nous, nous sommes partit sans perdre un instant après l’attaque, nous en avions un coffret remplis d’or.
– Ce n’est pas grave, j’ai encore quelques amis ici, je rendrais l’argent plus tard.
– Qu’as-tu pris pour déjeuner ? J’ai une faim de loup.
– Notre spécialité ici c’est le poisson mais nous avons un boulanger de talent, ce sont des beignets, allons manger, ensuite nous prendrons la route.
Mila trouva les beignets délicieux, elle n’en avait jamais manger d’aussi bon de sa vie, après le repas Mila et Ténélos préparèrent quelques affaires avant leur départ. Ils prirent ensuite la route avant midi, il leur faudrait environ huit à neuf heures de marche avant d’arriver dans le petit village de Neuraf. Ils ont emprunté les routes pavées que les marchands et voyageurs utilise habituellement. Ils sont restés très discret, ils se sont habillés de vieux vêtement en lin et ont mis leur grand manteau noir. Ils avaient dissimilé leurs armes sous c’est manteau, ils semblaient être des paysans comme les autres. La nuit commençait à tomber lorsque Mila et Ténélos sont arriver à Neuraf, ils étaient encore sur la route lorsque Mila prit la parole.
– Ce village semble petit, êtes-vous sûr que nous allons trouver une auberge ouverte ici Ténélos ?
– Oui bien sûr, c’est un village de voyageur, il y a dans ce village quelques artisans et trois grandes auberges, les gens passent souvent la nuit ici. Il y a également ici une guilde de marchand, beaucoup d’accord commerciaux y sont passer, la ville de Bolobnar se trouve à quelques kilomètres d’ici, ils ont un port pour le transport de marchandises, c’est également l’un des ports utilisés pour le transport en direction des Indes.
– Comment tu sais tout ça ?
– Eh bien tu sais Alan, ton père, avait confiance en moi et me confiait des missions qui sortaient de ma fonction habituelle. J’étais amener à beaucoup voyager, passer des accords avec les marchands pour l’import et l’export au Indes, nous faisions beaucoup de choses tous les deux. Je pense qu’au font ton père n’avait pas vraiment confiance au reste de son entourage, du moins pas à tous, je ne parle pas de toi et de Nazélie bien entendu, ni de certains rois faisant partie des douze, mais plutôt d’Amon et plusieurs personnes de la cour, certains rois.
– On ne pouvait pas lui en vouloir quand on voit comment tout c’est passer aujourd’hui.
– Ton père a toujours été un visionnaire, il avait toujours une longueur d’avance sur les autres. Et si tu veux mon avis, tu es bien partie pour agir comme lui.
– Je ne pense pas être à la hauteur de mon père et je ne pense pas y arriver un jour si tu veux savoir.
Ténélos commença à rigoler et prit ensuite la parole.
– Tu sais j’ai connu ton père très jeune, j’ai incorporé assez rapidement la garde royale, je ne le connaissais pas en tant qu’ami mais comme l’un de ces gardes. Mais je voyais déjà en lui un homme bon et il était comme toi, sûr de lui, un battant, le reste est venu avec le temps et l’expérience, ne t’en fais pas.
– Je l’espère répondit-elle en souriant sous sa grande capuche.
L’air était tiède, Mila et Ténélos sont entrer en ville sans encombre, la ville est ouverte à tous et est dirigée par une petite milice indépendante payée par la guilde des commerçant. Ils se sont dirigés dans l’une des trois auberges présente sur la place principale, beaucoup de gens déambulaient encore dans les rues, Ténélos as expliquer à Mila que cette ville ne dormait jamais, le temps c’est de l’argent pour la guilde des commerçant et ils n’ont pas de temps à perdre. L’auberge dans laquelle ils allaient manger et dormir s’appelait l’auberge des quarte vierges.
– Sympathique le nom dit Mila.
– Ce n’est qu’un nom, l’auberge est très bien tu vas voir et on y mange un ragout de viande et de pomme de terre excellent, tu vas voir. Lui répondit Ténélos d’un air amuser.
L’intérieur était éclairé par plusieurs dizaine de lampe à l’huile et un grand feu était allumer au milieu de la pièce. Des tables étaient disposées tout autour, des dizaines de personnes buvait et mangeaient, on pouvait entendre des cris venant de tous les coté. Deux femmes, une jeune et une plus âgée semblaient être les serveuses, elles faisaient des allers-retours entre le bar et une pièce qui semblait être la cuisine, un gros monsieur était quant à lui derrière un énorme bar en bois pour servir les boissons. Mila et Ténélos se sont approcher de lui, quand Ténélos enleva sa capuche la tête du gros monsieur changea, il semblait énerver au premier coup d’œil, mais à la vue du commandant il devint souriant.
– Mon vieille ami ! Mais je suis heureux de te voir ici, sa fais plusieurs mois que je ne t’ai pas vu. Dit-il d’une grosse voix.
– Arnbor, sa fais longtemps en effet, mais me voici répondit Ténélos souriant. J’avais à faire hors de nos contrées mais me revoici, as-tu deux chambres pour mon amie et moi-même ?
– Oh oui bien sûr, j’ai toujours des chambres pour mes amis, Griselda va vous emmener a elle, vous avez mangé ?
– Non, nous avons fait beaucoup de chemin.
– Alors deux ragouts pour mes amis, je sais que tu en raffole dit-il en rigolant. Avec sa je te sers une pinte ? Demanda-t-il.
– Merci mon ami, oui une pinte sa iras très bien.
– Et pour vous la demoiselle ? Un thé ? J’ai un très bon thé de Darjeeling, directement importer des Indes !
– C’est très tentant mais je dirais oui pour la pinte aussi répondit-elle en souriant.
Arnbor rigolât à plein poumon.
– Et bien deux pintes alors, vous êtes surprenante jeune fille.
Ténélos et Mila dégustère leur ragout qui était très bon et pleins de saveur, Arnbor y ajoutait des épices importés des Indes. Ils burent également leurs pintes, une fois le repas terminer, Arnbor leur fit apporter deux morceaux de tartes à la myrtille. Ensuite Griselda, la femme de Arnbor, la serveuse la plus âgée, les emmenèrent dans leur chambre. Elle avait préparé deux bassines d’eau chaude pour leur permettre de se laver. Les chambres était petite mais très agréable, elle était éclairée par de petites lampes à huile. Il était déjà très tard quand Mila et Ténélos se sont coucher, ils ne mirent pas longtemps à s’endormir chacun de leur côté.
Le lendemain matin ils se sont lever de bonne heure, quand ils sont descendus dans la salle principale, l’auberge semblait aussi remplie que la nuit dernière. Arnbor servit le petit déjeuner à Mila a Ténélos avant leur départ, une omelette accompagnée de pain au fruits sec.
– Comment fait ce Arnbor pour servir des plats aussi bons ? Demanda Mila.
– Sa femme est très bonne cuisinière, de plus ils ne prennent que les bons produits, si tu dois revenir ici je te conseil cette auberge, les autres sont beaucoup moins accueillante et si tu veux tout savoir, le repas n’est pas terrible non plus dit-il souriant.
– Et ce Arnbor, tu le connais depuis longtemps ? Il a l’air très gentil.
– Il l’es oui, je le connais depuis que je suis tout jeune, il était ami avec mon père.
– Il est très grand et a des mains énormes, je n’avais jamais vu sa répondit Mila d’un air étonner.
– Sa c’est normal, il n’est pas originaire de notre royaume.
– Ah bon ? D’où vient-il alors ?
– Il fait partie du peuple des barbares, il a quitté sont peuple très jeune quand c’est parents sont mort. Son village a été saccager et bruler par une tribu qui était en guerre avec la sienne, il était le seul survivant. Ce sont des pécheurs de mon village qui l’ont trouvé, ils l’ont adopté, c’est pour ça que je le connais.
– Il n’as jamais essayer de retourner dans une autre tribu barbare ?
– Non, il a toujours vécu ici, il n’a que le physique des barbares mais c’est tout, peu de gens connaissent sont histoire par contre, donc reste discrète. Je ne veux pas lui attirer des ennuis.
– bien sûr je comprends.
– Quand tu auras terminé nous allons prendre la route, nous devrions arriver dès ce soir au château de Zenovich.
Une fois le petit déjeuner terminer, Mila et Ténélos ont voulu payer Arnbor pour le repas et les chambres. Il a refusé et a insisté pour qu’ils restent c’est invité, il était très content de revoir le commandant. Il leur souhaita un agréable voyage et les invita à revenir dès que possible le voir. Mila et Ténélos le remercièrent et prirent la route.
Le chemin c’est bien passer, ils ont emprunté les routes communes, il faisait un peu plus froid que les jours précédent, l’hiver était aux portes du royaume. A la tombée de la nuit Mila aperçus au loin plusieurs torches.
– Nous arrivons à Zenovich, comment allons-nous parvenir jusqu’au roi sans se faire voir ? Demanda Mila inquiète.
– Ne t’en fais pas, j’ai ma petite idée, nous devons nous dépêcher car à partir d’une certaine heure les portes de la ville sont fermée et les arrivants sont contrôler.
Quand Mila et Ténélos sont arriver aux portes de la ville, elle était encore ouverte, ils ont pu y entrer sans problème. Mila était déjà venue à plusieurs reprises à Zenovich, c’était une ville qui ressemblait très fort a la sienne, elle était un peu plus petite et comptait moins d’habitant. Argos était un homme aimer de son peuple, c’était un bon roi tout comme Alan, il a toujours fait son possible pour rendre son peuple heureux. Une fois dans la ville Ténélos emmena Mila à travers les grandes rues en pavé jusqu’à arriver devant la cathédrale de la ville. Ils entrèrent tous les deux, elle était gigantesque et magnifique, les vitraux était coloré. Mila et le commandant s’avancèrent jusqu’au bout du hall, Ténélos frappa à l’une des grandes portes en bois. Quelques instants après, un homme ouvrit la porte, il était habillé d’une grande robe de nuit rouge et un petit bonnet en tissu avec un pompon sur le dessus, le vieil homme avançait en s’éclairant avec une bougie. Ténélos baissa sa capuche, le vieil homme approcha la bougie du visage de Ténélos avant de prendre la parole.
– Mon jeune garçon dit-il d’une voix fatiguée.je ne m’attendais pas à vous voir ici mais j’en suis néanmoins heureux, vous devriez faire très attention à vous, car vous n’êtes plus le bienvenu au sein du grand royaume.
– Cardinal Joffre, je suis heureux de vous voir également. Je sais que je ne suis pas le bienvenu et je ne suis pas le seul a vrai dire.
– Sachez toutefois que vous êtes toujours le bienvenu au sein de notre église mon garçon, je ne crois pas au fait qui sont avancer pour vous dénigrer. Mais que voulez-vous dire par « Je ne suis pas le seul a vrai dire » ?
– Elle ne vous connais pas mais vous la connaissez, je vous présente Mila.
Mila enleva sa capuche, le cardinal s’approcha d’elle pour voir son visage à l’aide de sa bougie, il la salua.
– En effet mon garçon, vous n’êtes pas le seul, mais tout comme vous Ténélos, vous êtes la bienvenue dans la maison du seigneur. Je suis désolé pour votre père et votre mère votre altesse.
– Je vous remercie monsieur le cardinal.
– Venez, je vais vous offrir une chambre et de quoi vous restaurer mes enfants.
– Merci cardinal Joffre, mais nous aimerions que vous nous rendiez un autre service.
– Je vous écoute mon enfant.
– Nous aimerions parler au roi Argos mais comme vous devez vous en douter, cela doit rester secret.
– bien sûr, je vais le faire venir pour une raison qui concerne l’église, il vous expliquera la missive et les directives que nous avons reçu du nouveau roi Amon. Je vais envoyer l’évêque Rachelier pour quérir le roi en mon nom.
Une heure après la conversation, Mila et Ténélos avait été installer dans des chambres réserver aux visiteurs de l’église, ils étaient là sans que personne ne le sache. Le cardinal leur avait fait servir un repas chaud, le roi Argos ne tarda pas à arriver accompagner d’une escorte de quatre soldats. Il leurs demanda de rester à l’extérieur pendant son entretien avec le cardinal.
– Bonsoir mon roi dit le cardinal à Argos, je suis désolé de vous faire quérir si tard mais j’ai ici deux personnes qui souhaite vous voire de toute urgence.
Argos ne fut pas étonner de voir Mila et Ténélos dans le fond de la salle.
– J’espérais vous voir, par contre je ne savais pas que vous alliez être accompagnée du commandant, j’en suis heureux, avec lui vous êtes en sécurité.
– Je vous laisser discuter dit le cardinal en fermant les grandes portes derrière lui.
Mila et Ténélos s’approchèrent du roi Argos.
– Merci d’être venu dit Ténélos, je sais que nous vous mettons dans une mauvaise position mais nous n’avions pas le choix, vous êtes le seul à qui nous pouvons faire confiance à m’es yeux.
– En effet, vous êtes au courant de la missive qui a été envoyer pour vous deux ainsi que pour vos hommes dit déserteur ?
– Non, nous ne le sommes pas répondit Mila.
– Eh bien vous êtes considéré comme rebelle du royaume, nous avons ordre de tuer chacun de vous a vue, sans procès.
– Amon, ce salaud, il ne recule devant rien. Dit Ténélos énerver.
– En effet répondit Argos. Cela dit, vous savez qui je suis et qui je soutien, il est bien évident qu’officiellement cette missive est respectée mais officieusement je n’en ferais rien. J’appréciais votre père Mila, c’était plus qu’un roi, c’était un ami. J’ai également appris pour votre mère, j’en suis désoler.
– Merci roi Argos, je vous remercie vraiment d’être resté fidèle à mon père.
– Personne ne dois savoir que vous êtes ici, vous pourrez rester aussi longtemps que vous le souhaiter. Vous comptez reprendre le trône a ce traitre ?
– Oui, mais pour l’instant nous agissons avec prudence répondit Mila.
– Savez-vous qu’il y a d’autre enjeu également en ce moment que le trône ? Demanda Argos.
– Comment ça ? Demanda Ténélos inquiet.
– Eux sont de retour comme vous le savez, mais nous avons de mauvaises nouvelles qui arrivent de partout sur le continent, ont dit que les morts barbares sortent des cimetières pour se battre contre leur propre peuple. Il est certain que cela a un rapport avec ce qui s’est produit dans la Chapel ou votre père a perdu la vie Mila, j’en suis sûr. Ce qui est inhabituel c’est qu’Eux ne nous attaquent pas, ils laissent le royaume en paix, du moins pour l’instant. De plus Amon a une nouvelle conseillère à ce que l’on raconte, une jeune femme venue de nulle part qu’il a nommé dés sont arrivée, apparemment c’est elle qui le dirige même s’il essaye de le cacher, cela fait beaucoup de coïncidence je pense.
– Vous pensez que Amon est lié à tout ça ? Demanda Mila.
– Après tout il est le seul à être revenu vivant de l’attaque de la Chapel répondit aussitôt le commandant.
– Oui, j’y ai penser également lui répondit le roi Argos. Et fait important, comme vous le savez, lors de la présence d’Eux dans le royaume et aux alentour, une armée considérable est postée dans les bastions. Amon a fait poster une armée, mais à peine dix pourcents des armées postée jusqu’à présent, on dirait qu’il ne les craint pas, qu’il sait qu’il ne risque rien de leurs part.
– Ou bien il laisse une porte ouverte pour qu’ils puissent nous envahir plus facilement répondit Ténélos.
– c’est une option à étudier également en effet dit Argos. Quoi qu’il en soit, je pense que sa pourrais-être un moyen de reprendre le trône qui vous est dû en les repoussant Eux Mila.
– Dans le meilleur des cas notre armées serait composée de peut-être cinq mille homme et quelques mercenaires mais pas plus lui dit le commandant. Nous ne ferions pas le poids face à Eux, vous savez tout comme nous qu’ils sont bien plus puissant que nous.
– Oui bien entendu commandant et c’est là que j’interviens ou plutôt que nous intervenons. Quand je dis-nous, je veux dire ceux qui vous sont encore fidèle a vous et notre reine. Nous formons en secret une armée bien plus importante que celle demandée par Amon, une fois prête, l’armée se battra en votre nom Mila et mon royaume également. Je ne suis pas le seul à vous être fidèle, le roi Zénégos et le roi Marovin vous suivrons également. Nul doute que d’autre nous suivrons par la suite lorsqu’ils verront que nous avons le dessus. Certains hommes de votre armée se battront de nouveau à vos coté également, j’en suis sûr.
– Cela me parait un bon plan en effet, mais cela ne suffira pas non plus je pense répondit Ténélos.
– Non je le sais, mais c’est un début, nous devrons trouver d’autre alliés.
– Vous avez quelque chose en tête ? Demanda Mila. Je me trompe ?
– Non Mila, vous avez raison, votre père avait de bon rapport avec les Indes, ils ont de bons soldats, peut être pourrait-il nous aider dans notre combat.
– C’est une option mais je ne sais pas si cela pourra être possible continua Mila. Seul mon père avait des contacts plus personnels avec le dirigeant des Indes, mais je pourrais le rencontrer en son nom, en espérant qu’Amon n’ai pas envoyer de missive au Indes pour leur mentir sur nous comme il la fait ici.
– Je ne crois pas qu’il ait penser à ça, il ne se doute pas que nous puissions demander des renforts des Indes. Les barbares pourraient nous être également utile continue Ténélos.
– Les barbares ? Vous rigolez j’espère commandant. Lui répondit Argos.
– Ils nous ont aider lors de la dernière attaque contre Eux, ici ils sont pris de toute part comme vous nous l’avez dit. Je pense que potentiellement nous pourrions s’aider mutuellement dit Mila.
– Eh bien je pense que vous allez devoir voyager Mila. Lui dit Argos.
– Oui en effet.
– Ne désespère pas Mila lui répondit le commandant. Ce ne seras pas facile mais tu peux y arriver, comme je te l’ai dit, tu as les talents naturels de ton père, rien ne l’arrêtait, c’est pareil pour toi comme je te l’ai déjà dit.
– Nous devons le tenter au moins répondit Mila. Dès demain nous devrons nous mettre en route, par contre je ne sais pas par où commencer, comment pourrais-je trouver le chef des barbares ?
– Je ne pourrais vous accompagner Mila lui dit Ténélos, je dois rejoindre Peacy a l’auberge rouge.
– C’est vrai, tu dois y aller, nous devons réunir un maximum d’homme. J’irais seul.
– Non Mila, je vous donnerais des hommes pour vous protéger. Répondit Argos.
– Merci roi Argos, mais je dois refuser, je ne peux faire confiance à personne et je sens au fond de moi que je dois accomplir cette quête seul.
– Mila, ce n’est pas prudent dit le commandant.
– Je le sais, mais je me dois de le faire, de plus je serais plus discrète seul qu’avec une armée pour me protéger.
– Très bien, dit Ténélos, par contre je peux t’aider, le meilleur moyen pour commencer c’est de trouver le chef barbare qui nous a aider, un certain Brockar. Je ne sais pas s’il est encore en vie mais si oui tu dois le trouver, ou au moins ceux qui ont pris sa place par la suite s’il y en a. Par contre tu dois faire attention, nous ne sommes pas les bienvenus dans sur leur terre, surtout en ce moment s’ils sont en guerre.
– Je comprends, je serais prudente. Je partirais demain matin, nous nous retrouverons ici commandant, j’espère le trouver rapidement. Toi de ton coté rassemble les hommes qui nous sont fidèle et commence à les organiser. Lui dit Mila.
– Qu’il en soit ainsi fini par dire Argos.
Le roi Argos fini par rentrer au château, Mila anxieuse et Ténélos partirent se coucher, aucun des trois ne trouva le sommeil rapidement, ils savaient tous les trois que leur plan était très risqué. Mais chacun d’eux sentait au fond de lui qui c’étais la chose à faire, sa leur semblait évident.

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